L'Eveil de la Bête - II - Predateur, Proie de Rob Sanders
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VOTRE APPRÉCIATION GLOBALE DU ROMAN :
L'Eveil de la Bête - II - Predateur, Proie de Rob Sanders
Deuxième livre d'une série de 12 romans.
Présentation:
Présentation:
==> Predateur, Proie Hardback Après des siècles de paix, les orks qui menacent l'ensemble des mondes humains sèment la panique au cœur de l'Imperium. À l'origine d'innombrables massacres, les lunes d'attaque orks détruisent les planètes les unes après les autres, employant des armes gravitiques contre lesquelles l'Humanité est impuissante. Sur Terra, les Hauts Seigneurs restent paralysés face à l'envergure de cette menace, incapables de mener la moindre action efficace. Alors que la nouvelle de l'extermination d'un chapitre entier de space marines se propage, qui saura se dresser en défenseur de l'Imperium ?? 256 pages • Mai 2016 • ISBN 9781780302683 • Illustration de Victor Manuel Leza Moreno |
Nico. Admin - Messages : 10500
Age : 34
Re: L'Eveil de la Bête - II - Predateur, Proie de Rob Sanders
Franchement je suis surpris que l'Eveil de la Bête n'intéresse qu'aussi peu.
J'ai voté Bon.
J'ai terminé le Tome II, il est pas mal, mais moins bien que le premier.
Il y a pas mal de nouveauté Fluff distrayantes et rafraichissantes (dont un chapitre de Seconde Fondation inédit), et des passages intéressant (notamment sur le Mechanicus).
Et il y aussi pour moi une ÉNORME erreur Fluff.
Review à venir.
J'ai voté Bon.
J'ai terminé le Tome II, il est pas mal, mais moins bien que le premier.
Il y a pas mal de nouveauté Fluff distrayantes et rafraichissantes (dont un chapitre de Seconde Fondation inédit), et des passages intéressant (notamment sur le Mechanicus).
Et il y aussi pour moi une ÉNORME erreur Fluff.
- Spoiler:
- Je suis pas expert en IF mais il me semble bien qu'ils ne peuvent développer leurs membranes de stases en cas de blessures graves du fait d'une défaillance dans leurs codes génétiques.
Et pourtant on a bien 3 IF retrouvés par le Mechanicus en état de léthargie protectrice. Bref, j'ai trouvé ça bizarre.
Review à venir.
Anton Narvaez Sergent Space Marine - Messages : 667
Age : 34
Localisation : Savoie
Re: L'Eveil de la Bête - II - Predateur, Proie de Rob Sanders
Sanders fait le café, et le fait plutôt bien compte tenu de ce format abraracourcix.
Bonne poursuite du travail d'Abnett, terminé l'ennemi random du premier livre, les choses sérieuses s'enclenchent, très doucement toutefois.
Très bonne idée que ce théâtre d'opération sur un waterworld où cohabitent plus ou moins violemment corsaires marginaux et marsouins de la Garde Impériale, et où viennent méchamment amerrir ces damnés orks, nous donnant ainsi la chance de lire de bons combats maritimes et côtiers, très bien décrits par ailleurs
Ondine, gros coup de cœur de ce livre !
Autrement, des intrigues de High Lords encore poussives et qui me laissent pantois (j'ai vraiment du mal à associer ce genre de têtes de porte-bonheur avec le traitement aussi léger et infantile - et incohérent - auxquels ils ont droit dans cette série...). Quelques bons moments quand même, notamment les interactions entre les HL de l'Assassinorum et de l'Ecclésiarchie. Dommage que Gavin' ait gâché la suite.
La partie Space marine est correcte. Quelques moments bolt-porn et d'autres survolés mais bon, le format tout ça.
Plutôt bon livre donc
Emperor Maître de Guerre - Messages : 4758
Re: L'Eveil de la Bête - II - Predateur, Proie de Rob Sanders
Terminé aussi et j'avoue avoir lu de très bonnes surprises.
Avec ce second tome, Sanders nous fait rentrer dans le vif du sujet. On l'avais bien senti à la fin du tome 1, ce qui n'avait débuter que comme une simple purge de bestioles à coquille allait forcément finir en un véritable échec militaire cuisant pour l'Imperium.
Là, on assiste - spectateur - à la destruction massive et inéluctable de mondes - comme Ondine, un monde océan qui, malgré une lutte bien sentie, va se faire balayer comme des dizaines d'autres mondes évoqués.
Ondine et sa poignée de gardes badass qui résistent contre orks et marées est d'une pure justesse et préfigure déjà la fin de cette période de paix au profit d'un avenir bien plus dark que l'on connait. Gros point fort du roman.
L'autre gros point fort, Sanders reprend les personnages décrits par Abnett et parvient à les caractériser avec la même justesse. Vangoritch de l'Assassinorum devient là, le personnage centrale de ce début de série. Gros point fort aussi : la présentation d'un cadre d'assassins, avec une Vanus, deux Callidus, deux Vindicare et un Eversor dans sa boite. Là, on sent du lourd à venir car ils disposent d'un potentiel de malades.
Idem pour les technoprêtres...ok, on sait depuis longtemps qu'ils sont un peu comme les nains dans le Fantasy, ils ne roulent que pour eux et pensent aux profits qu'ils vont pouvoir en tirer. Là aussi c'est très bien vu, on sent que leurs propres intérêts ne sont pas ceux de l'Imperium mais juste ceux de Mars avec toute la logique binaire dont ils font preuve, regardant mourir les mondes comme le ferait un drone en plein enregistrement de données ou disséquant les derniers marines survivants, pour la beauté de la science...
Rôooo yabon, l'allusion aux excavations commencées dans le Noctis Labyrintus de Mars.... ^^
Et très bon aussi l'autopsie du magos biologis sur le cadavre d'un ork, qui découvre que les orks n'ont pas développé leur aptitude à maitriser la technologie au cours d'une évolution graduée - comme les humains, mais qu'ils la possèdent de façon innée et ce, depuis l'aube de leur race. Idem, il découvre une sorte d'énergie qui émane du cadavre et qui permet de faire fonctionner leur technologie toute seule...l'orkitude fluff, tout ça...très sympa donc puisque parfaitement raccord avec le vrai fluff - bon point pour Sanders
Les orks donc...haa on les voit enfin de près et ils sont totalement hystériques et impossibles à stopper. J'aime les gardes qui tirent aux fusils laser pour voir que leurs armes ne laissent que des simples traces de brulure sur la peau des orks ^^ Les malheureux...
En tout cas, ils sont là et bien là et on comprend que l'Imperium va prendre très cher.
Après, concernant les Imperial Fists...
Bon y a des points qui font un peu tiquer, comme cette histoire de cocon de stase...mais bon passe encore, ou encore le fait qu'un chapitre soit éradiqué, comme ça et que ça passe aux travers des mailles du fluff (ok, y aura une explications plus tard, je n'en doute pas mais forcément, les Fists du M41 possèdent désormais un secret bien gardé...).
Après le bon point est d'introduire les Fists Exemplars, chapitre de la seconde fondation avec toutes les questions que semblent poser l'application du Codex Astartes. Mais c'est très bien vu.
Ici Sanders nous dépeint un Fist Exemplar du nom de Maximus Thane...
Je spoile :
Sur le côté un peu moins bon...je dirais un passage boltporn qui dure un peu et qui m'a pas franchement séduit plus que ça.
Les Hauts Seigneurs encore plus mous du genou qu'avant, là on a des vrais flanby et on sait que l'Imperium va plus dérouiller à cause d'eux qu'à cause des orks...Après coup je ne pense même pas que ce soit une faiblesse du roman mais plutôt une volonté de montrer l'incompétence des énarques du M32 à prendre des décisions autres que pour leurs propres intérêts. Donc frustrant de bêtises mais finalement plutôt juste j'imagine...
Si je devait donner une note, je mettrai 15/20, parce que j'ai trouvé très plaisants les moment forts de ce livre avec une vrai mise en place de l'histoire.
Avec ce second tome, Sanders nous fait rentrer dans le vif du sujet. On l'avais bien senti à la fin du tome 1, ce qui n'avait débuter que comme une simple purge de bestioles à coquille allait forcément finir en un véritable échec militaire cuisant pour l'Imperium.
Là, on assiste - spectateur - à la destruction massive et inéluctable de mondes - comme Ondine, un monde océan qui, malgré une lutte bien sentie, va se faire balayer comme des dizaines d'autres mondes évoqués.
Ondine et sa poignée de gardes badass qui résistent contre orks et marées est d'une pure justesse et préfigure déjà la fin de cette période de paix au profit d'un avenir bien plus dark que l'on connait. Gros point fort du roman.
L'autre gros point fort, Sanders reprend les personnages décrits par Abnett et parvient à les caractériser avec la même justesse. Vangoritch de l'Assassinorum devient là, le personnage centrale de ce début de série. Gros point fort aussi : la présentation d'un cadre d'assassins, avec une Vanus, deux Callidus, deux Vindicare et un Eversor dans sa boite. Là, on sent du lourd à venir car ils disposent d'un potentiel de malades.
Idem pour les technoprêtres...ok, on sait depuis longtemps qu'ils sont un peu comme les nains dans le Fantasy, ils ne roulent que pour eux et pensent aux profits qu'ils vont pouvoir en tirer. Là aussi c'est très bien vu, on sent que leurs propres intérêts ne sont pas ceux de l'Imperium mais juste ceux de Mars avec toute la logique binaire dont ils font preuve, regardant mourir les mondes comme le ferait un drone en plein enregistrement de données ou disséquant les derniers marines survivants, pour la beauté de la science...
Rôooo yabon, l'allusion aux excavations commencées dans le Noctis Labyrintus de Mars.... ^^
Et très bon aussi l'autopsie du magos biologis sur le cadavre d'un ork, qui découvre que les orks n'ont pas développé leur aptitude à maitriser la technologie au cours d'une évolution graduée - comme les humains, mais qu'ils la possèdent de façon innée et ce, depuis l'aube de leur race. Idem, il découvre une sorte d'énergie qui émane du cadavre et qui permet de faire fonctionner leur technologie toute seule...l'orkitude fluff, tout ça...très sympa donc puisque parfaitement raccord avec le vrai fluff - bon point pour Sanders
Les orks donc...haa on les voit enfin de près et ils sont totalement hystériques et impossibles à stopper. J'aime les gardes qui tirent aux fusils laser pour voir que leurs armes ne laissent que des simples traces de brulure sur la peau des orks ^^ Les malheureux...
En tout cas, ils sont là et bien là et on comprend que l'Imperium va prendre très cher.
Après, concernant les Imperial Fists...
Bon y a des points qui font un peu tiquer, comme cette histoire de cocon de stase...mais bon passe encore, ou encore le fait qu'un chapitre soit éradiqué, comme ça et que ça passe aux travers des mailles du fluff (ok, y aura une explications plus tard, je n'en doute pas mais forcément, les Fists du M41 possèdent désormais un secret bien gardé...).
Après le bon point est d'introduire les Fists Exemplars, chapitre de la seconde fondation avec toutes les questions que semblent poser l'application du Codex Astartes. Mais c'est très bien vu.
Ici Sanders nous dépeint un Fist Exemplar du nom de Maximus Thane...
Je spoile :
- Spoiler:
- Petite allusion à mettre en lien avec l'excellentissime et très antique roman de Ian Watson sur les Fists ou Maximus Thane est justement le nom d'un des anciens maitre de chapitre des Imperial Fists...du coup les puristes du fluff auront compris comment le chapitre aura survécu à son extinction...
Sur le côté un peu moins bon...je dirais un passage boltporn qui dure un peu et qui m'a pas franchement séduit plus que ça.
Les Hauts Seigneurs encore plus mous du genou qu'avant, là on a des vrais flanby et on sait que l'Imperium va plus dérouiller à cause d'eux qu'à cause des orks...Après coup je ne pense même pas que ce soit une faiblesse du roman mais plutôt une volonté de montrer l'incompétence des énarques du M32 à prendre des décisions autres que pour leurs propres intérêts. Donc frustrant de bêtises mais finalement plutôt juste j'imagine...
Si je devait donner une note, je mettrai 15/20, parce que j'ai trouvé très plaisants les moment forts de ce livre avec une vrai mise en place de l'histoire.
Vil xenos omniscient
Re: L'Eveil de la Bête - II - Predateur, Proie de Rob Sanders
J'ai terminé le deuxième tôme avant hier et dans l'ensemble je suis assez d'accord avec mes voisins du dessus.
Cependant il y a une chose qui m'ennuie beaucoup et qui me pose un très gros problème, surtout étant donné que cela apparait très tôt dans la série: la traduction.
La traduction est ignoble. Des anglicismes à la pelle, une sorte d'inconstance dans le style qui va du soutenu hyperbolique au courant voir limite familier par moments (le tout dans un même chapitre), des lourdeurs, etc... Ces défauts rendent, pour moi en tout cas, la lecture pénible.
Et ces défauts me sautent d'autant plus aux yeux que je lis plusieurs livres en parallèle (à savoir L'Architecte du Destin, La Bataille de Calth et un autre roman qui n'a rien à voir avec l'univers WH).
Du coup j'en suis à me demander si je vais poursuivre la lecture de cette série et ce malgré l'intérêt fluffique (dont je suis très friand).
Cependant il y a une chose qui m'ennuie beaucoup et qui me pose un très gros problème, surtout étant donné que cela apparait très tôt dans la série: la traduction.
La traduction est ignoble. Des anglicismes à la pelle, une sorte d'inconstance dans le style qui va du soutenu hyperbolique au courant voir limite familier par moments (le tout dans un même chapitre), des lourdeurs, etc... Ces défauts rendent, pour moi en tout cas, la lecture pénible.
Et ces défauts me sautent d'autant plus aux yeux que je lis plusieurs livres en parallèle (à savoir L'Architecte du Destin, La Bataille de Calth et un autre roman qui n'a rien à voir avec l'univers WH).
Du coup j'en suis à me demander si je vais poursuivre la lecture de cette série et ce malgré l'intérêt fluffique (dont je suis très friand).
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Ivan le Fou Space Marine - Messages : 371
Re: L'Eveil de la Bête - II - Predateur, Proie de Rob Sanders
Et voilà mon retour concernant cette lecture :
- Scénario et mise en scène = 3/5
Le premier tome s’est évertué à nous présenter ce trente-deuxième millénaire (avec, notamment, les relations complexes entre Hauts Seigneurs). Quant à cette suite, elle dépeint l’arrivée de La Bête, et autant dire qu’elle est fracassante !
Qu’il s’agisse de mondes-forges (de l'Adeptus Mechanicus), de mondes-monastères (Adeptus Astartes), de mondes-ruches (Astra Militarum) ou de flottes de guerre (Black Templars, en l’occurrence) : tous vont découvrir l’ampleur de la menace… Et l’Imperium n’y était absolument pas préparé !
C’est d’ailleurs cette surabondance de puissance, de la part des peaux-verte, qui décrédibilise un peu ce récit… En suivant la logique de Rob Sanders : comment l’Humanité peut-elle espérer survivre ? Comment une telle masse d’envahisseurs a-t-elle pu passer inaperçu aux yeux d’hypothétiques espions / systèmes de surveillances ?
- Style et écriture = 4/5
Alterner entre autant de protagonistes n’a pas dû être une mince affaire pour l’auteur ! Entre des Fist Exemplars, des Black Templars, une corsaire humaine, des assassins, des techno-adeptes… Et tous soumit à rude épreuve (tant physique que morale) : l’écrivain montre-là toute sa polyvalence ! Un bémol, toutefois, réside en l’absence d’attachement à tous ces nouveaux intervenants. Après tout, pris individuellement, moins de chapitres leurs sont alloués… Peut être certains seront-ils amenés à réapparaître au cours de cette série, qui sait…
- Intérêt fluff = 3/5
De part la multiplication des points de vue, le lecteur découvre comment chaque « faction » tente de survivre face à l’envahisseur ! Des stratagèmes innovants sont employés et des armes depuis longtemps oubliées refont surface.
Et en ce qui concerne les peaux-vertes : il ne s’agit plus d’une unique Lune d’Assaut (qui était déjà suffisamment impressionnante en soi), mais bien d’une invasion à l’échelle de segmentums ! La Bête est là, et elle le fait savoir…
- Appréciation personnelle = 3/5
Le premier tome dépeint l’Imperium et ses intrigues politiques. Quant au second volet, c’est au tour de cette invasion d’être passer au crible. Maintenant que les bases sont (enfin) posées, j’ai hâte de découvrir comment l’Imperium se défendra face à la Bête ! En attendant, une crainte ma taraude : que cette « toute-puissance peaux-vertes » ne soit qu’une vulgaire surenchère sans réels fondements derrière… Les textes suivants auront donc la lourde tâche de me prouver le contraire.
- Note globale = 13/20
- Scénario et mise en scène = 3/5
Le premier tome s’est évertué à nous présenter ce trente-deuxième millénaire (avec, notamment, les relations complexes entre Hauts Seigneurs). Quant à cette suite, elle dépeint l’arrivée de La Bête, et autant dire qu’elle est fracassante !
Qu’il s’agisse de mondes-forges (de l'Adeptus Mechanicus), de mondes-monastères (Adeptus Astartes), de mondes-ruches (Astra Militarum) ou de flottes de guerre (Black Templars, en l’occurrence) : tous vont découvrir l’ampleur de la menace… Et l’Imperium n’y était absolument pas préparé !
C’est d’ailleurs cette surabondance de puissance, de la part des peaux-verte, qui décrédibilise un peu ce récit… En suivant la logique de Rob Sanders : comment l’Humanité peut-elle espérer survivre ? Comment une telle masse d’envahisseurs a-t-elle pu passer inaperçu aux yeux d’hypothétiques espions / systèmes de surveillances ?
- Style et écriture = 4/5
Alterner entre autant de protagonistes n’a pas dû être une mince affaire pour l’auteur ! Entre des Fist Exemplars, des Black Templars, une corsaire humaine, des assassins, des techno-adeptes… Et tous soumit à rude épreuve (tant physique que morale) : l’écrivain montre-là toute sa polyvalence ! Un bémol, toutefois, réside en l’absence d’attachement à tous ces nouveaux intervenants. Après tout, pris individuellement, moins de chapitres leurs sont alloués… Peut être certains seront-ils amenés à réapparaître au cours de cette série, qui sait…
- Intérêt fluff = 3/5
De part la multiplication des points de vue, le lecteur découvre comment chaque « faction » tente de survivre face à l’envahisseur ! Des stratagèmes innovants sont employés et des armes depuis longtemps oubliées refont surface.
Et en ce qui concerne les peaux-vertes : il ne s’agit plus d’une unique Lune d’Assaut (qui était déjà suffisamment impressionnante en soi), mais bien d’une invasion à l’échelle de segmentums ! La Bête est là, et elle le fait savoir…
- Appréciation personnelle = 3/5
Le premier tome dépeint l’Imperium et ses intrigues politiques. Quant au second volet, c’est au tour de cette invasion d’être passer au crible. Maintenant que les bases sont (enfin) posées, j’ai hâte de découvrir comment l’Imperium se défendra face à la Bête ! En attendant, une crainte ma taraude : que cette « toute-puissance peaux-vertes » ne soit qu’une vulgaire surenchère sans réels fondements derrière… Les textes suivants auront donc la lourde tâche de me prouver le contraire.
- Note globale = 13/20
Vaïkan Scout - Messages : 122
Age : 32
Localisation : Montpellier
Re: L'Eveil de la Bête - II - Predateur, Proie de Rob Sanders
+1 pour ton retour
Content que tu es un peu apprécié ta lecture quand même, c'est vrai que de mon coté je me rappelle l'avoir bien apprécié aussi malgré le coté un peu décousu que tu as relevé. J'avais bien apprécié que l'on ait le point de vu d'une soldate présente sur un monde couvert de nombreux océans et donc avec des forces navales de l'Imperium, ce qui est assez rare dans les récits Warhammer.
Sans vouloir te rebuter et te décevoir mais plutôt pour partager une expérience de lecture plutôt positive, et c'est une appréciation personnelle qui je l'espère ne t'influencera pas, j'ai trouvé que le 7 premiers tomes de la série étaient plutôt bons dans leur ensemble, il y en avait même de très bons comme le tome 3 qui traite de la Marine Impérial lorsqu'elle combat les bases spatiales xenos et des questions politiques qui lui sont intrinsèquement lié et qui sont tous deux des sujets qui m'intéresse beaucoup, le tome 4 sur la croisade Prolétarienne qui j'avoue m'a un peu surpris de la bonne manière par l'audace de l'idée de base de cette étape du récit, de cette histoire dans l'Histoire, le Tome 5 sur le Dernier Rempart et les effets militaires et politiques que ce rassemblement implique avec un prime une scène d'ouverture franchement badass et enfin le Tome 7 sur l'assaut sur Ullanor et sur le retournement de situation final pour ne pas être trop exhaustif. Ensuite la qualité, je trouve, baisse de tome en tome jusqu'au tome 11 qui est un peu une purge il faut bien se l'avouer. Le tome 12 relève vraiment le niveau et est même l'un des meilleurs de la série, histoire de terminer sur une note positive. Je n'ai donc qu'un seul conseil à te donner, c'est de t'accrocher jusqu'à la fin qui, comme je l'avais dit dans ma critique sur l'ultime tome de la série, pour moi mérite quand même le détour. Il y a en quand même un quintet de personnage principaux Astartes, Haut - Seigneurs et Inquisiteurs qui méritent que l'on se penche un peu sur leurs cas et sur leurs motivations, idéologies et psychologies, et ceci jusqu'à la confrontation finale à la fois à l'extérieur de l'Imperium mais aussi au cœur de ses institutions, sur Terra elle - même.
J'espère que tu continueras la série, accroche toi malgré les tomes dispensables car c'est quand même un ensemble de bouquin plutôt bon et une bonne idée de la BL si l'on exclut quelques erreurs et raccourcis plutôt gros et prévisibles...
Content que tu es un peu apprécié ta lecture quand même, c'est vrai que de mon coté je me rappelle l'avoir bien apprécié aussi malgré le coté un peu décousu que tu as relevé. J'avais bien apprécié que l'on ait le point de vu d'une soldate présente sur un monde couvert de nombreux océans et donc avec des forces navales de l'Imperium, ce qui est assez rare dans les récits Warhammer.
Sans vouloir te rebuter et te décevoir mais plutôt pour partager une expérience de lecture plutôt positive, et c'est une appréciation personnelle qui je l'espère ne t'influencera pas, j'ai trouvé que le 7 premiers tomes de la série étaient plutôt bons dans leur ensemble, il y en avait même de très bons comme le tome 3 qui traite de la Marine Impérial lorsqu'elle combat les bases spatiales xenos et des questions politiques qui lui sont intrinsèquement lié et qui sont tous deux des sujets qui m'intéresse beaucoup, le tome 4 sur la croisade Prolétarienne qui j'avoue m'a un peu surpris de la bonne manière par l'audace de l'idée de base de cette étape du récit, de cette histoire dans l'Histoire, le Tome 5 sur le Dernier Rempart et les effets militaires et politiques que ce rassemblement implique avec un prime une scène d'ouverture franchement badass et enfin le Tome 7 sur l'assaut sur Ullanor et sur le retournement de situation final pour ne pas être trop exhaustif. Ensuite la qualité, je trouve, baisse de tome en tome jusqu'au tome 11 qui est un peu une purge il faut bien se l'avouer. Le tome 12 relève vraiment le niveau et est même l'un des meilleurs de la série, histoire de terminer sur une note positive. Je n'ai donc qu'un seul conseil à te donner, c'est de t'accrocher jusqu'à la fin qui, comme je l'avais dit dans ma critique sur l'ultime tome de la série, pour moi mérite quand même le détour. Il y a en quand même un quintet de personnage principaux Astartes, Haut - Seigneurs et Inquisiteurs qui méritent que l'on se penche un peu sur leurs cas et sur leurs motivations, idéologies et psychologies, et ceci jusqu'à la confrontation finale à la fois à l'extérieur de l'Imperium mais aussi au cœur de ses institutions, sur Terra elle - même.
J'espère que tu continueras la série, accroche toi malgré les tomes dispensables car c'est quand même un ensemble de bouquin plutôt bon et une bonne idée de la BL si l'on exclut quelques erreurs et raccourcis plutôt gros et prévisibles...
Argel Tal Space Marine - Messages : 439
Age : 25
Localisation : Paris
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