Warlord: La Furie du Dieu Machine de David Annandale
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VOTRE APPRÉCIATION GLOBALE DU ROMAN :
Warlord: La Furie du Dieu Machine de David Annandale
==> Warlord: La Furie du Dieu Machine de Gav Thorpe Les titans de bataille de l'Adeptus Titanicus sont de gigantesques machines de guerre, des effigies sacrées construites à la gloire de l'Omnimessie, et ceux de classe Warlord sont les engins les plus dévastateurs à la disposition de l'Imperium de l'Humanité. Leurs armes font pleuvoir la mort sur les aliens comme sur les hérétiques, et leur seule présence sur le champ de bataille peut immédiatement étouffer une rébellion planétaire. Mais alors que la galaxie s'embrase sous les assauts incessants des hordes du Chaos, il faudra bien plus qu'une seule légion titanique pour prévaloir... 320 pages • Juin 2017 • ISBN: 978-1780303420 • Illustration par |
Nico. Admin - Messages : 10500
Age : 34
Re: Warlord: La Furie du Dieu Machine de David Annandale
Noté passable.
Des titans qui se battent non-stop contre leurs équivalents bio ou à picots, sans arrêt technique pour recharger leurs armes, envoyant des tétrachiées de missiles quand ça leur chante, etc. Des tactiques employées très sommaires ("en fer de lance", "occupez-les à distance", "tirez dans le sol pour les faire trébucher", . . . ). On dirait un gamin qui joue avec ses Lego. On est loin des déroulés de bataille d'un Mc Neill, plus recherchés et plus étayés dans les principes techniques qui régissent le fonctionnement d'une machine de guerre de 40m. Paresse intellectuelle de l'auteur ?
Les points d'intérêts :
- Combat de titans impériaux contre des bio titans tyrannides dans la première partie du bouquin, ça change.
- Le suivi de quelques piétons tout en bas, dont un écclesiarche bien inspiré et bien intolérant comme je les aime, qui guide la résistance de la populace.
- Les secutari qui défendent les pieds des titans et partent à l'abordage des machines ennemies avec leurs fixations magnétiques
Bref, ça se lit comme on regarde un Godzilla vs King Kong ou un Transformers. Pas très fin, de grosses bestioles qui se foutent sur laggle, des scènes à la Michael Bay, comme ces titans qui traversent une mer de prométhéum enflammé. Et le tout avec une curiosité de traduction qui revient tout le temps : "LA multiface" C'est agaçant car à chaque fois ça fait passer le princeps pour un noob, un peu comme ces gens qui disent la wifi
Vraiment moyen donc, divertissant mais sans plus. Il existe de bien meilleures batailles de titans dans d'autres livres.
Emperor Maître de Guerre - Messages : 4758
Re: Warlord: La Furie du Dieu Machine de David Annandale
rha damned ... j'aurai bien aimé le lire celui la.
Mais vu le prix et ta critique, ca me refroidi un poil quand meme.
je verrais pour le trouver d'occaz'.
Merci de ton retour l'ami.
Mais vu le prix et ta critique, ca me refroidi un poil quand meme.
je verrais pour le trouver d'occaz'.
Merci de ton retour l'ami.
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Le progrès technique est comme une hache qu'on aurait mis dans les mains d'un psychopathe.
- Albert Einstein -
- Je suis Coutelier Forgeron venez voir : MON ACTU sur FB
- sur le web Pierre Forge Tranquille
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Re: Warlord: La Furie du Dieu Machine de David Annandale
Merci pour tes reviews Emperor, j'aime bien le ton et au moins c'est tres clair.
nomak Scout - Messages : 24
Localisation : Baal
Re: Warlord: La Furie du Dieu Machine de David Annandale
Et voilà mon retour concernant cette lecture :
- Scénario et mise en scène = 3/5
La toute première partie du roman, qui sert principalement à présenter les différents protagonistes, voit s’affronter des Titans (de l’Imperium, donc) et des Bio-Titans (Tyrannides). Une entrée en la matière assez originale ! Peu après, les deux Legios (qui s’entendent pas du tout) répondent à l’appel de la planète Katara. En effet, cette dernière subit un soulèvement en masse, de la part des cultistes du Chaos ! En ce qui concerne les points de vue, le lecteur est amené à suivre celui d’un prêtre (qui conduira la poche de résistance de ses ouailles) ; celui d’un tankiste (originaire de Katara, par ailleurs) et, bien sûr : d’une princeps du Pallidus Mor (une Legio de l’Adeptus Titanicus). Cette alternance permet de prendre toute la mesure de ces Dieux-Machines !
- Style et écriture = 3/5
L'un des gros points noirs de ce roman est l’absence de termes techniques complexes. Qu’il s’agisse de stratégies, de mécaniques ou d’armements : n’importe quel lecteur peut en comprendre le sens… Ce serait bien s’il ne s’agissait pas de machines hautes de 40 mètres et hautement sophistiquées ! Hormis cela, les scènes qui y sont décrites sont impressionnantes (de destruction). D’autant plus en comparaison des combattants « lambda », aux pieds de ces géant de métal…
- Intérêt fluff = 3/5
Une autre faiblesse, du récit de David Annandale, réside dans ce « fameux » soulèvement de cultistes… Comment une telle armée / marée humaine a-t-elle pu passer inaperçu ? Certes, ils se trouvaient dans les sous-terrains, mais bon… Cela décrédibilise, en partie le roman. Toutefois, l’épilogue m’est apparu original (quoi que trop court) ! Ce dernier, qui ne comprend que quelques paragraphes, dévoile l’avenir de Katara (ou, tout du moins, ce qu’il en reste, suite au courroux de ces Dieux-Machines).
- Appréciation personnelle = 2/5
Pour un premier roman centré sur l’Adeptus Titanicus, celui-ci m’a émerveiller (de part ses descriptions apocalyptiques). Mais, les défauts de ce texte m’ont quelque peu refroidi… Il s’agit donc, à mon humble avis, d’un roman d’action (à l’échelle de Titans) sans véritable trame narrative complexe pour le soutenir. De très bonnes qualités contrebalancées par des défauts trop visibles…
- Note globale = 11/20
- Scénario et mise en scène = 3/5
La toute première partie du roman, qui sert principalement à présenter les différents protagonistes, voit s’affronter des Titans (de l’Imperium, donc) et des Bio-Titans (Tyrannides). Une entrée en la matière assez originale ! Peu après, les deux Legios (qui s’entendent pas du tout) répondent à l’appel de la planète Katara. En effet, cette dernière subit un soulèvement en masse, de la part des cultistes du Chaos ! En ce qui concerne les points de vue, le lecteur est amené à suivre celui d’un prêtre (qui conduira la poche de résistance de ses ouailles) ; celui d’un tankiste (originaire de Katara, par ailleurs) et, bien sûr : d’une princeps du Pallidus Mor (une Legio de l’Adeptus Titanicus). Cette alternance permet de prendre toute la mesure de ces Dieux-Machines !
- Style et écriture = 3/5
L'un des gros points noirs de ce roman est l’absence de termes techniques complexes. Qu’il s’agisse de stratégies, de mécaniques ou d’armements : n’importe quel lecteur peut en comprendre le sens… Ce serait bien s’il ne s’agissait pas de machines hautes de 40 mètres et hautement sophistiquées ! Hormis cela, les scènes qui y sont décrites sont impressionnantes (de destruction). D’autant plus en comparaison des combattants « lambda », aux pieds de ces géant de métal…
- Intérêt fluff = 3/5
Une autre faiblesse, du récit de David Annandale, réside dans ce « fameux » soulèvement de cultistes… Comment une telle armée / marée humaine a-t-elle pu passer inaperçu ? Certes, ils se trouvaient dans les sous-terrains, mais bon… Cela décrédibilise, en partie le roman. Toutefois, l’épilogue m’est apparu original (quoi que trop court) ! Ce dernier, qui ne comprend que quelques paragraphes, dévoile l’avenir de Katara (ou, tout du moins, ce qu’il en reste, suite au courroux de ces Dieux-Machines).
- Appréciation personnelle = 2/5
Pour un premier roman centré sur l’Adeptus Titanicus, celui-ci m’a émerveiller (de part ses descriptions apocalyptiques). Mais, les défauts de ce texte m’ont quelque peu refroidi… Il s’agit donc, à mon humble avis, d’un roman d’action (à l’échelle de Titans) sans véritable trame narrative complexe pour le soutenir. De très bonnes qualités contrebalancées par des défauts trop visibles…
- Note globale = 11/20
Vaïkan Scout - Messages : 120
Age : 32
Localisation : Montpellier
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