Prospero Brûle
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Votre appréciation globale du roman :
Re: Prospero Brûle
Moi j'attendrais les rééditions, j'ai pris Prospero Brûle mais il me manque: la bataille des abysses, un millier de fils et nemesis...Mais bon j'ai tellement de truc à lire avant que je peux attendre un peu.
In Mortis est Gloriam!
Uriel Ventris Premier Capitaine - Messages : 1376
Age : 38
Localisation : Newcastle
Re: Prospero Brûle
Uriel Ventris a écrit:J'ai commandé Prospero Brûle lundi soir et il est arrivé ce matin . Il est tout beau tout plein!
J'ai vérifié l'état de ma commande sur le site de la BL et elle n'a même pas encore été traitée...
Je dois être maudit, ils ont dû m'identifier son mon vrai nom et ils m'ont blacklisté...
Je suis blasé, ça me fout un gros coup au moral...
Administration Admin - Messages : 6893
Re: Prospero Brûle
Bizarre que certains l'ont déjà reçu alors qu'il devait arrivé le 15 octobre alors que nous ne sommes même le 10. Pourtant je l'ai pré-commandé.
Codex Raven Guard
Corax Maître de Guerre - Messages : 6772
Age : 46
Localisation : Délivrance / Lorraine
Re: Prospero Brûle
Horus Lupercal a écrit:J'ai vérifié l'état de ma commande sur le site de la BL et elle n'a même pas encore été traitée...
Je dois être maudit, ils ont dû m'identifier son mon vrai nom et ils m'ont blacklisté...
Je suis blasé, ça me fout un gros coup au moral...
J'avais aussi vérifier jeudi soir le statut de ma commande et c'était juste écrit Acknowledge, et pourtant une dizaine d'heures plus tard il était chez moi. Peut-être que je l'ai commandé assez tard pour les mecs des envois pensent qu'il était dispo?! Autre facteur j'habite un peu plus près des Britons que vous autres.
In Mortis est Gloriam!
Uriel Ventris Premier Capitaine - Messages : 1376
Age : 38
Localisation : Newcastle
Re: Prospero Brûle
Le maître de guerre n'a toujours pas fini son pavé de 600 pages actuel mais veut pourtant le tome suivant au plus vite, ça frise le caprice !
Emperor Maître de Guerre - Messages : 4758
Re: Prospero Brûle
Emperor a écrit:
Le maître de guerre n'a toujours pas fini son pavé de 600 pages actuel mais veut pourtant le tome suivant au plus vite, ça frise le caprice !
Mais non, j'aime bien tout simplement avoir une longueur d'avance sur ce que je lis. Je ne suis pas le Maître de guerre pour rien, il me faut toujours anticiper et avoir une ou plusieurs longueurs d'avance sur tout ce que je fais. C'est ainsi que je fonctionne.
Et aujourd'hui toujours rien dans la boite aux lettres.
Lundi alors ? La semaine prochaine ? L'année prochaine ?
Administration Admin - Messages : 6893
Re: Prospero Brûle
Ah c'est psychologique en fait.
En ce qui me concerne je l'ai commandé comme à mon habitude sur Amazon, et c'est marqué le 21 Octobre pour la sortie...
En gros je l'ai en fin de mois quoi, ça sent l'apoplexie !
Emperor Maître de Guerre - Messages : 4758
Re: Prospero Brûle
Cela n'entre pas en ligne de compte pour la réception d'un colis.Uriel Ventris a écrit:Autre facteur j'habite un peu plus près des Britons que vous autres.
D'un point de vue logistique Paris est plus proche. Le Fret arrivera à Calais ou Cherbourg via le train ou les transport maritime.
Is Finecast using diamond mixed with cocaine?
La Galaxie en Flammes, le forum français de l'Hérésie d'Horus.
La Galaxie en Flammes, le forum français de l'Hérésie d'Horus.
Dakka Primarque - Messages : 3776
Localisation : Pom Pom Galli
Re: Prospero Brûle
Etant donné que je travaille sur le port de Cherbourg je peux essayer de les retrouver si vous voulez..... Bon par contre si je vois un paquet au nom d'Horus je le met de coté pour le faire chanter .
———
"Pride,not flesh, is weak"
"Quel mal pouvait bien causer l'étude et l'apprentissage ?"
Magnus Maitre de chapitre - Messages : 2299
Age : 46
Localisation : Normandie , LE pays du Cidre ...
Re: Prospero Brûle
J'ai reçu un collis de l'airmail. Donc directement à paris.
J'ai utilisé le terme "britons" pour appuyer l'absurdité de ma phrase.
Sinon je pense que le fret de courrier par la mer n'est pas appliqué aux lettres et petits colis.
J'ai utilisé le terme "britons" pour appuyer l'absurdité de ma phrase.
Sinon je pense que le fret de courrier par la mer n'est pas appliqué aux lettres et petits colis.
In Mortis est Gloriam!
Uriel Ventris Premier Capitaine - Messages : 1376
Age : 38
Localisation : Newcastle
Vietlord Space Marine - Messages : 419
Re: Prospero Brûle
je viens de finir a l'instant prospero brûle
j'ai adoré surtout la fin,surtout le coup de ours(mon dieux qu'est ce que c'est énorme)
pour ce qui ont lu:
j'ai adoré surtout la fin,surtout le coup de ours(mon dieux qu'est ce que c'est énorme)
pour ce qui ont lu:
- Spoiler:
- ours,bjorn a la fin quand il dit qu'il n'aimerai pas être un dreadnought
La mort hante les ténèbres, et elle connaît votre nom ! Je suis Night Haunter.
Non, ne t'envole pas, petit corbeau. Reste. Nous n'en avons pas terminé, toi et moi.( Konrad à Corax)
Vous êtes tellement plus que simplement abjects. (Konrad à Lorgar)
Re: Prospero Brûle
Abaddon a écrit:On ne m'écoute jamais !!
Il est disponible là !!
http://www.gibertjoseph.com/catalogsearch/result/?q=un+millier+de+fils&product_type=*&x=0&y=0
J'y crois pas, moi un loyaliste je dis merci à ... Abaddon car 1000fils = 8,70 e, d'occase en colissimo
Oni soit qui mal y pense
Vietlord Space Marine - Messages : 419
Leman Russ Maître de Guerre - Messages : 5839
Age : 54
Localisation : Finistère Sud
Re: Prospero Brûle
j'ai voulu l'acheter ce matin et le vendeur m'a répondu : " Ah oui on l'a en stock mais je dois attendre demain pour le mettre en vente, sinon il est super bien !!! "
Sur c'est un hérétique pour me narguer comme ça !!!!
Sur c'est un hérétique pour me narguer comme ça !!!!
"Lucide et Vaillant, nous vaincrons !!!"
CDA : La Horde de Nalhutta
CDAB : Nalhutta
CDA Armour : LR Blazing Templar
CDA 40K Heros : Boss Smash
CDA Escouade : Troupes de choc 251e
CDA Hiver : Plagues Marines
CDA Printemps : ????????
nalhutta Premier Capitaine - Messages : 1043
Age : 50
Localisation : Regionus Parisianus
Re: Prospero Brûle
Sans doute un adepte de Slaanesh, il a voulu te faire bisquer.
Heureusement que tu n'étais pas un adorateur de Khorne sinon tu l'aurais massacré sur place. Du moins c'est ce que j'aurai fait moi, car je vénère tous les dieux sombres sans distinction, car il faut prendre du plaisir à massacrer son prochain.
Heureusement que tu n'étais pas un adorateur de Khorne sinon tu l'aurais massacré sur place. Du moins c'est ce que j'aurai fait moi, car je vénère tous les dieux sombres sans distinction, car il faut prendre du plaisir à massacrer son prochain.
Kairos le Tisseur Sergent Space Marine - Messages : 653
Leman Russ Maître de Guerre - Messages : 5839
Age : 54
Localisation : Finistère Sud
Re: Prospero Brûle
J'ai enfin trouvé Prospero et compagnie au courrier, hier, mais comme je suis rentré tard j'ai pas encore eu le temps d'un profiter.
De toute façon faut que je termine Wulrik avant d'attaquer Prospero avec les loups des étoiles du grand Leman Russ.
De toute façon faut que je termine Wulrik avant d'attaquer Prospero avec les loups des étoiles du grand Leman Russ.
Invité Invité
Re: Prospero Brûle
Je suis comme horus.j'aime bien avoir de la reserve.(j'ai 9 livres d'avance que je n'ai pas lu encore)
Je n'ai meme pas commencé le 1er heretique que je voudrais avoir prospero brule!
Je n'ai meme pas commencé le 1er heretique que je voudrais avoir prospero brule!
Gloire a Abaddon
Horus Aximand Space Marine - Messages : 189
Localisation : ?????
Re: Prospero Brûle
Pas encore eu le temps de l'acheter et je n'aurai certainement pas le temps de le lire avant un moment...c'est d'autant plus rageant que je ne pourrai pas participer à la discussion, tout comme avec le premier hérétique.
Pour l'Empereur, pour Sanguinius !
Monarque Capitaine Space Marine - Messages : 961
Age : 36
Localisation : Nord
Re: Prospero Brûle
Tu devrais quand même te le procurer rapidement avant qu'il ne soit en rupture du stock, il suffit de voir ce qu'il est advenu du Premier Hérétique. Déjà épuisé un peine un mois après sa sortie. Là la BL abuse pas mal avec ces histoires de stocks non approvisionnés.
Kairos le Tisseur Sergent Space Marine - Messages : 653
Re: Prospero Brûle
Je lis trop vite.. prospéro déjà fini.. je repars me faire Ch.. sur le trône de fer en attendant la suite..
a propos.. je me disais bie que ce nom Kasper Hawser.. me disait quelque chose :
WIKIPEDIA :
Kaspar Hauser — dont le nom est parfois francisé en Gaspard Hauser, entre autres par Verlaine — est un adolescent qui a vécu au XIXe siècle. Apparu sur la place de Nuremberg le 26 mai 1828, il était probablement âgé d'environ 16 ans. Surnommé « l'orphelin de l'Europe »1, il est encore aujourd'hui au centre d'une énigme relative à ses origines.
Kaspar Hauser
L'orphelin de l'Europe[modifier]
Kaspar Hauser apparaît le 26 mai 1828 dans une rue de Nuremberg, en Bavière, épuisé, titubant, gesticulant et grognant de façon incompréhensible ...
Il tient à la main une lettre adressée au « Commandant en chef du 4e escadron du 6e
régiment de chevau-légers », le capitaine Wessnich ; la lettre
précisait que le père de Kaspar aurait appartenu à ce régiment et un
autre billet, joint à la lettre, le déclarait né le 30 avril 1812.
Le premier des deux messages aurait prétendument été écrit par l'homme
qui a élevé Kaspar Hauser :« Ce garçon m'a été confié en 1812, le 7
octobre, et je suis moi-même un pauvre journalier, j'ai moi-même dix
enfants, j'ai moi-même assez de peine à me tirer d'affaire, et sa mère
m'a confié l'enfant pour son éducation ».
Quant au second billet, on croyait qu'il était de la mère de Kaspar
Hauser. C'est ce second billet qui fournit la date de naissance du jeune
homme et contient une requête :« Si vous l'élevez, son père a été un chevau-léger. Quand il aura 17 ans, envoyez-le à Nuremberg au 6e régiment de Schowilsche. Là aussi son père a été. »
Cependant le capitaine Wessnich remarque que les deux billets sont
écrits de la même main et suspectant un coup monté, place l'adolescent
en détention2.
Les seuls mots qu'est capable de prononcer le jeune homme sont :
« cavalier veux comme père était ». Il sait aussi écrire son nom.
Le maire de Nuremberg finit par le prendre sous son aile, et le faire
parler. Il aurait vécu dans un réduit sombre, dormi sur la terre battue
ou la paille sans jamais voir personne ; il avait reçu la visite d'un
homme vêtu de noir qui lui avait appris à marcher et à écrire son nom.
Plus tard, cet homme l'aurait conduit en vue de Nuremberg et l'y aurait
abandonné, avec cette enveloppe contenant les deux billets.
L'histoire fait dès lors le tour des journaux qui surnomment Kaspar
« l'orphelin de l'Europe ». Des rumeurs commencent à circuler sur son
allure noble et les traits de son visage.
Hébergé chez un professeur qui lui apprend à lire et à écrire, il est
victime d'un attentat en 1828, qui relance les rumeurs: le mythe de la
naissance noble de l'adolescent se forge peu à peu.
Cette famille aurait tenté de s'en débarrasser pour hériter du Grand-duché de Bade
dont l'héritier, né en 1812, est mort deux semaines après sa naissance
dans des conditions mystérieuses. Dans ce cas, Kaspar serait le neveu de
la reine de Bavière, Caroline de Bade.
(Des analyses ADN avec les descendants des familles nobles auxquelles
il aurait appartenu démontreront qu'il n'avait aucun lien de parenté
avec celles-ci.)
Hébergé ensuite chez un conseiller municipal, Kaspar est victime en
1830 d'un autre attentat, mais les policiers mettent celui-ci en doute
et soupçonnent une mise en scène. Le comte de Stanhorpe organise son
troisième foyer d'accueil auprès de l'instituteur Johann Georg Meyer à
Ansbach. Stanhorpe, après interrogation, en vient à croire que Kaspar
serait d'origine hongroise, mais cela ne sera jamais élucidé.
Épilogue : Kaspar est, selon sa propre version, attiré dans la nuit du 14 décembre 1833 dans le parc du château d'Ansbach, en Franconie bavaroise,
par un mystérieux individu qui l'aurait poignardé. Il meurt trois jours
plus tard. À l'emplacement de l'attentat, une stèle indique « hic
occultus occulto occisus est » (ici, un inconnu fut assassiné par un
inconnu). Les médecins conclurent que Kaspar s'était infligé lui-même
les blessures dont il est mort.
L'énigme[modifier]
L'allure noble de Kaspar tendrait à présumer qu'il serait de haute naissance et appartiendrait à une illustre famille3.
Une naissance princière ?[modifier]
La grande-duchesse Stéphanie, mère présumée de Kaspar Hauser
Des recherches effectuées dans les archives princières de l'année de sa naissance indiquent que, le 29 septembre 1812, la princesse Stéphanie de Beauharnais, nièce de l'impératrice des Français Joséphine, fille adoptive de l'empereur Napoléon Ier et mariée par lui au grand-duc Charles Ier de Bade,
avait mis au monde un fils qui meurt brutalement et sans explication 15
jours plus tard. Stéphanie n'est même pas autorisée à voir le cadavre
de son enfant. On prétend craindre pour sa santé.
Or, la grande-duchesse Stéphanie est en butte à l'hostilité de Louise Geyer de Geyersberg, comtesse de Hochberg, seconde épouse (morganatique) du feu grand-duc Charles-Frédéric de Bade, grand-père de Charles.
En effet, veuf en 1783 mais toujours fort gaillard, le margrave sexagénaire, qui avait fait l'admiration de l'Europe des Lumières, chercha à se remarier. Son fils aîné et héritier le prince Charles-Louis
et son épouse Amélie de Hesse-Darmstadt ayant déjà donné le jour à une
nombreuse progéniture (surtout féminine), n'envisageaient pas sans
désagrément d'autres naissances princières qui eussent pu obérer les
finances du margraviat et "faire de l'ombre " à leur propres enfants.
Le vieux margrave résolut de prendre pour maîtresse une de ses
filleules, jeune et jolie demoiselle orpheline désargentée de 18 ans
certes noble mais pas de sang royal, Louise Geyer de Geyersberg, dame d'honneur de sa belle-fille. Celle-ci, invoquant sa vertu, n'accepta pas un tel marché et exigea le mariage.
Une telle union, célébrée en 1788, ne pouvait être que morganatique
et les enfants qui en seraient issus non-dynastes. La jeune fille fut
titrée baronne puis comtesse de Hochberg et du Saint-Empire et les
naissances suivirent rapidement. On prétend que ces enfants n'avaient
pas pour père le vieux margrave mais son fils cadet le prince Louis dont l'âge s'accordait mieux à celui de Louise et qui était un débauché notoire pour ne pas dire un pervers.
Entre-temps, la Révolution française avait envoyé ses troupes
« libérer l'Europe de ses tyrans » avant que le général Bonaparte se
fasse couronner empereur, mette fin au séculaire Saint Empire Romain
Germanique et accorde sa protection à la toute nouvelle confédération du
Rhin à laquelle le vieux margrave devenu sénile, et sous la coupe de
son plus jeune fils l'omniprésent prince Louis, n'eut d'autre choix que
de se rallier.
En 1801, le fils aîné du margrave, après avoir brillamment marié ses
filles (notamment Louise-Auguste devenue tsarine de toutes les Russies),
étant mort accidentellement en Suède où il allait visiter sa sœur la reine Frédérique,
l'héritier du trône était alors l'unique petit-fils du margrave, le
prince Charles âgé de 15 ans. Tout de suite, l'oncle Louis s'intéresse à
ce jeune neveu, prenant sur lui un ascendant capital, l'entraînant dans
ses débauches et le poussant à l'alcoolisme et à un machisme grossier
pour faire pièce à l'influence que pourrait avoir sur le jeune homme sa
mère, la princesse Amélie, une mère orgueilleuse et possessive.
En 1806, Napoléon Ier élève le margraviat au rang de grand-duché et marie le jeune prince Charles âgé de 19 ans à une nièce de son épouse, Stéphanie de Beauharnais,
16 ans, qu'il adopte et crée "princesse impériale". Le jeune couple
immature s'entend mal et il faudra attendre 5 ans avant de célébrer une
naissance, une fille prénommée Louise en l'honneur de sa tante la
tsarine. La même année, le vieux margrave devenu grand-duc s'éteint et
Charles monte sur le trône.
L'année suivante, 1812, naît l'héritier attendu qui meurt subitement.
L'année suivante, c'est une fille puis un fils mort au berceau puis
encore une fille en 1817.
On peut penser que l'ambitieuse comtesse Hochberg ait nourri des
sentiments négatifs à l'encontre de la jeune grande-duchesse qui n'avait
pas plus de sang royal qu'elle dans les veines mais à qui on accordait
les honneurs royaux.
Autres temps, autres mœurs...l'Ancien Régime et ses codes sociaux avaient vécu, Louise Geyer de Geyersberg et ses enfants en avaient été les victimes, la jeune Stéphanie de Beauharnais
était la bénéficiaire de l'ordre nouveau. De plus Charles, malgré ses
débauches, resta loyal envers Stéphanie lorsque l'empire Français
s'écroula et refusa de la répudier bien que son mariage n'ait pas été
célébré selon le rite protestant mais seulement selon le rite catholique
non valide pour les princes de Bade.
En effet, la jeune grande-duchesse était restée catholique dans une
cour protestante. Elle était également très populaire notamment auprès
des populations catholiques du Palatinat et du Brisgau rattachées au
nouveau grand-duché sur ordre de l'oncle Napoléon.
La comtesse de Hochberg avait de quoi ruminer sa rancœur et sa jalousie.
Charles, victime de ses débauches, mourut prématurément en 1818 à l'âge de 32 ans et son oncle Louis lui succèda ous le nom de Louis Ier.
Faute d'héritier et prévoyant la fin de sa dynastie, le grand-duc
défunt n'avait eu d'autre choix que de proclamer dynastes ses oncles
Hochberg (qui étaient ses cadets par l'âge) et émit le vœu que l'aîné de
ceux-ci, Léopold, épousât une de ses nièces descendantes de la Maison de Bade..
La comtesse touchait au but. Dès 1819, elle mariait son fils aîné Léopold de Hochberg
devenu prince Léopold de Bade à Sophie de Suède, fille de la reine
Frédérique dont le mari avait été détrôné et qui vivait chichement en
exil. Ici également, la reine déchue n'avait eu d'autre choix que
d'accepter ce mariage qui apportait aux Hochberg le sang dynaste de la
Maison de Bade. La comtesse de Hochberg meurt l'année suivante à 52 ans.
Peut-être a-t-elle mis dans son jeu sa jeune bru qui se montrera tout
aussi ambitieuse qu'elle, que son mari craindra et son fils haïra.
Devenu grand-duc à la mort de son neveu qu'il avait poussé dans une voie destructrice, Louis Ier de Bade est alors le dernier membre masculin de la Maison de Bade.
Il ne s'est jamais marié ayant cependant un certain nombre d'enfants
illégitimes. Peut-être ce débauché incestueux était-il sous le coup d'un
chantage de la comtesse de Hochberg. Louis Ier meurt en 1830 et Léopold lui succède sans incident.
Recherche d'ADN[modifier]
Stéphanie se persuade que, la nuit où son enfant a été donné pour
mort, la comtesse de Hochberg l'aurait enlevé pour lui substituer
l'enfant d'un de ses ouvriers, que l'on aurait drogué à l'en faire
mourir. Elle se rend secrètement à Ansbach pour y apercevoir Gaspard et
en revient persuadée qu'il est bien son fils mais n'en dit mot.
Une recherche d'ADN réalisée en 1996, financée par l'hebdomadaire Der Spiegel,
et comparant l'ADN de Kaspar qui aurait été prélevé sur la chemise
qu'il portait le jour de son assassinat, avec celui de deux descendantes
de la Maison de Bade, n'a pas révélé la moindre similitude4.
En 2002 toutefois, des analyses de l'ADN prélevés sur six cheveux de
Kaspar Hauser et réalisées à l'Institut de médecine légale de Münster
sous la direction du Pr. B. Brinkmann, ont abouti à des résultats
positifs5.
Ces résultats demeurent contestés, compte tenu du risque de
contamination des cheveux en question, à un siècle d'écart. La Maison
princière de Bade s'est toujours refusée à laisser analyser les
ossements du fils de Charles et Stéphanie de Bade.
Confirmation ?[modifier]
La découverte d'un cachot secret a également réjoui ceux qui croient à
l'origine noble de l'adolescent. Ce cachot a été découvert à la suite
du percement d'un mur dans les communs du château de Beuggen (près de Rheinfelden), le 11 août 2000 ;
on y a trouvé sur une poutre le dessin au crayon d'un cheval, ce par
quoi il faut conclure à la présence d'un prisonnier autrefois. Le style
d'aménagement du cachot (et la référence à la figuration du cheval)
présente des analogies frappantes avec le cachot découvert au château de
Pilsach (près de Nuremberg), appelé aujourd'hui « Château Kaspar Hauser ».
Il faut par ailleurs noter que, de son vivant, Kaspar a dessiné des armoiries qu'il aurait vues de ses yeux ; or, ces mêmes armoiries figurent sur les portes du château de Beuggen.
Épilogue[modifier]
Le grand-duc Léopold, fils de la comtesse de Hochberg, sombre dans
l'alcoolisme, refusant de régner et se déclarant prêt à abdiquer à tout
moment; Son épouse, l'ambitieuse Sophie de Suède l'en empêche et à la
mort du grand-duc son fils aîné lui succède sous le nom de Louis II de Bade.
Il n'a que 28 ans mais a depuis un certain temps sombré dans la folie
et éprouve une haine viscérale envers sa mère, qu'il injurie et traite
de sorcière. Il meurt à 34 ans en 1858. Son frère cadet, qui avait été proclamé régent, lui succède sous le nom de Frédéric Ier. C'est un jeune homme mélancolique.
La grande-duchesse Stéphanie s'éteint à Nice en 1860.
En 1918, les monarchies allemandes, à la suite des revers de la Première Guerre mondiale, sont balayées par la révolution. Le prince Maximilien de Bade, cousin héritier du grand-duc Frédéric II de Bade et chancelier du Reich (dont la mère est une Beauharnais), proclame de son propre chef la fin de la monarchie en Allemagne.
Autres hypothèses[modifier]
Il a également été évoqué le fait que Kaspar Hauser ait été le fruit
d'une expérience cruelle. Une question qui agita beaucoup le XVIIIe siècle et le XIXe siècle
était de savoir si un enfant éloigné de tout contact humain
développerait ou non une sorte de langage et quelle serait en ce cas la
« langue primale » qui se dégagerait ainsi. Mais d'autres expériences
cruelles du même type ont démontré qu'un enfant laissé seul sans contact
humain meurt après un cours laps de temps. Personne n'a donc jamais
vraiment su quel type de langage ils pourraient développer.
et la chanson de verlaine.. qui m'a fait penser a cela :;
Je suis venu, calme orphelin
Riche de mes seuls yeux tranquilles,
Vers les hommes des grandes villes :
Ils ne m'ont pas trouvé malin.
A vingt ans un trouble nouveau,
Sous le nom d'amoureuses flammes,
M'a fait trouver belles les femmes :
Elles ne m'ont pas trouvé beau.
Bien que sans patrie et sans roi
Et très brave ne l'étant guère,
J'ai voulu mourir à la guerre :
La mort n'a pas voulu de moi.
Suis-je né trop tôt ou trop tard ?
Qu'est-ce que je fais en ce monde ?
Ô vous tous, ma peine est profonde :
Priez pour le pauvre Gaspard.
a propos.. je me disais bie que ce nom Kasper Hawser.. me disait quelque chose :
WIKIPEDIA :
Kaspar Hauser — dont le nom est parfois francisé en Gaspard Hauser, entre autres par Verlaine — est un adolescent qui a vécu au XIXe siècle. Apparu sur la place de Nuremberg le 26 mai 1828, il était probablement âgé d'environ 16 ans. Surnommé « l'orphelin de l'Europe »1, il est encore aujourd'hui au centre d'une énigme relative à ses origines.
Kaspar Hauser
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Kaspar Hauser apparaît le 26 mai 1828 dans une rue de Nuremberg, en Bavière, épuisé, titubant, gesticulant et grognant de façon incompréhensible ...
Il tient à la main une lettre adressée au « Commandant en chef du 4e escadron du 6e
régiment de chevau-légers », le capitaine Wessnich ; la lettre
précisait que le père de Kaspar aurait appartenu à ce régiment et un
autre billet, joint à la lettre, le déclarait né le 30 avril 1812.
Le premier des deux messages aurait prétendument été écrit par l'homme
qui a élevé Kaspar Hauser :« Ce garçon m'a été confié en 1812, le 7
octobre, et je suis moi-même un pauvre journalier, j'ai moi-même dix
enfants, j'ai moi-même assez de peine à me tirer d'affaire, et sa mère
m'a confié l'enfant pour son éducation ».
Quant au second billet, on croyait qu'il était de la mère de Kaspar
Hauser. C'est ce second billet qui fournit la date de naissance du jeune
homme et contient une requête :« Si vous l'élevez, son père a été un chevau-léger. Quand il aura 17 ans, envoyez-le à Nuremberg au 6e régiment de Schowilsche. Là aussi son père a été. »
Cependant le capitaine Wessnich remarque que les deux billets sont
écrits de la même main et suspectant un coup monté, place l'adolescent
en détention2.
Les seuls mots qu'est capable de prononcer le jeune homme sont :
« cavalier veux comme père était ». Il sait aussi écrire son nom.
Le maire de Nuremberg finit par le prendre sous son aile, et le faire
parler. Il aurait vécu dans un réduit sombre, dormi sur la terre battue
ou la paille sans jamais voir personne ; il avait reçu la visite d'un
homme vêtu de noir qui lui avait appris à marcher et à écrire son nom.
Plus tard, cet homme l'aurait conduit en vue de Nuremberg et l'y aurait
abandonné, avec cette enveloppe contenant les deux billets.
L'histoire fait dès lors le tour des journaux qui surnomment Kaspar
« l'orphelin de l'Europe ». Des rumeurs commencent à circuler sur son
allure noble et les traits de son visage.
Hébergé chez un professeur qui lui apprend à lire et à écrire, il est
victime d'un attentat en 1828, qui relance les rumeurs: le mythe de la
naissance noble de l'adolescent se forge peu à peu.
Cette famille aurait tenté de s'en débarrasser pour hériter du Grand-duché de Bade
dont l'héritier, né en 1812, est mort deux semaines après sa naissance
dans des conditions mystérieuses. Dans ce cas, Kaspar serait le neveu de
la reine de Bavière, Caroline de Bade.
(Des analyses ADN avec les descendants des familles nobles auxquelles
il aurait appartenu démontreront qu'il n'avait aucun lien de parenté
avec celles-ci.)
Hébergé ensuite chez un conseiller municipal, Kaspar est victime en
1830 d'un autre attentat, mais les policiers mettent celui-ci en doute
et soupçonnent une mise en scène. Le comte de Stanhorpe organise son
troisième foyer d'accueil auprès de l'instituteur Johann Georg Meyer à
Ansbach. Stanhorpe, après interrogation, en vient à croire que Kaspar
serait d'origine hongroise, mais cela ne sera jamais élucidé.
Épilogue : Kaspar est, selon sa propre version, attiré dans la nuit du 14 décembre 1833 dans le parc du château d'Ansbach, en Franconie bavaroise,
par un mystérieux individu qui l'aurait poignardé. Il meurt trois jours
plus tard. À l'emplacement de l'attentat, une stèle indique « hic
occultus occulto occisus est » (ici, un inconnu fut assassiné par un
inconnu). Les médecins conclurent que Kaspar s'était infligé lui-même
les blessures dont il est mort.
L'énigme[modifier]
L'allure noble de Kaspar tendrait à présumer qu'il serait de haute naissance et appartiendrait à une illustre famille3.
Une naissance princière ?[modifier]
La grande-duchesse Stéphanie, mère présumée de Kaspar Hauser
Des recherches effectuées dans les archives princières de l'année de sa naissance indiquent que, le 29 septembre 1812, la princesse Stéphanie de Beauharnais, nièce de l'impératrice des Français Joséphine, fille adoptive de l'empereur Napoléon Ier et mariée par lui au grand-duc Charles Ier de Bade,
avait mis au monde un fils qui meurt brutalement et sans explication 15
jours plus tard. Stéphanie n'est même pas autorisée à voir le cadavre
de son enfant. On prétend craindre pour sa santé.
Or, la grande-duchesse Stéphanie est en butte à l'hostilité de Louise Geyer de Geyersberg, comtesse de Hochberg, seconde épouse (morganatique) du feu grand-duc Charles-Frédéric de Bade, grand-père de Charles.
En effet, veuf en 1783 mais toujours fort gaillard, le margrave sexagénaire, qui avait fait l'admiration de l'Europe des Lumières, chercha à se remarier. Son fils aîné et héritier le prince Charles-Louis
et son épouse Amélie de Hesse-Darmstadt ayant déjà donné le jour à une
nombreuse progéniture (surtout féminine), n'envisageaient pas sans
désagrément d'autres naissances princières qui eussent pu obérer les
finances du margraviat et "faire de l'ombre " à leur propres enfants.
Le vieux margrave résolut de prendre pour maîtresse une de ses
filleules, jeune et jolie demoiselle orpheline désargentée de 18 ans
certes noble mais pas de sang royal, Louise Geyer de Geyersberg, dame d'honneur de sa belle-fille. Celle-ci, invoquant sa vertu, n'accepta pas un tel marché et exigea le mariage.
Une telle union, célébrée en 1788, ne pouvait être que morganatique
et les enfants qui en seraient issus non-dynastes. La jeune fille fut
titrée baronne puis comtesse de Hochberg et du Saint-Empire et les
naissances suivirent rapidement. On prétend que ces enfants n'avaient
pas pour père le vieux margrave mais son fils cadet le prince Louis dont l'âge s'accordait mieux à celui de Louise et qui était un débauché notoire pour ne pas dire un pervers.
Entre-temps, la Révolution française avait envoyé ses troupes
« libérer l'Europe de ses tyrans » avant que le général Bonaparte se
fasse couronner empereur, mette fin au séculaire Saint Empire Romain
Germanique et accorde sa protection à la toute nouvelle confédération du
Rhin à laquelle le vieux margrave devenu sénile, et sous la coupe de
son plus jeune fils l'omniprésent prince Louis, n'eut d'autre choix que
de se rallier.
En 1801, le fils aîné du margrave, après avoir brillamment marié ses
filles (notamment Louise-Auguste devenue tsarine de toutes les Russies),
étant mort accidentellement en Suède où il allait visiter sa sœur la reine Frédérique,
l'héritier du trône était alors l'unique petit-fils du margrave, le
prince Charles âgé de 15 ans. Tout de suite, l'oncle Louis s'intéresse à
ce jeune neveu, prenant sur lui un ascendant capital, l'entraînant dans
ses débauches et le poussant à l'alcoolisme et à un machisme grossier
pour faire pièce à l'influence que pourrait avoir sur le jeune homme sa
mère, la princesse Amélie, une mère orgueilleuse et possessive.
En 1806, Napoléon Ier élève le margraviat au rang de grand-duché et marie le jeune prince Charles âgé de 19 ans à une nièce de son épouse, Stéphanie de Beauharnais,
16 ans, qu'il adopte et crée "princesse impériale". Le jeune couple
immature s'entend mal et il faudra attendre 5 ans avant de célébrer une
naissance, une fille prénommée Louise en l'honneur de sa tante la
tsarine. La même année, le vieux margrave devenu grand-duc s'éteint et
Charles monte sur le trône.
L'année suivante, 1812, naît l'héritier attendu qui meurt subitement.
L'année suivante, c'est une fille puis un fils mort au berceau puis
encore une fille en 1817.
On peut penser que l'ambitieuse comtesse Hochberg ait nourri des
sentiments négatifs à l'encontre de la jeune grande-duchesse qui n'avait
pas plus de sang royal qu'elle dans les veines mais à qui on accordait
les honneurs royaux.
Autres temps, autres mœurs...l'Ancien Régime et ses codes sociaux avaient vécu, Louise Geyer de Geyersberg et ses enfants en avaient été les victimes, la jeune Stéphanie de Beauharnais
était la bénéficiaire de l'ordre nouveau. De plus Charles, malgré ses
débauches, resta loyal envers Stéphanie lorsque l'empire Français
s'écroula et refusa de la répudier bien que son mariage n'ait pas été
célébré selon le rite protestant mais seulement selon le rite catholique
non valide pour les princes de Bade.
En effet, la jeune grande-duchesse était restée catholique dans une
cour protestante. Elle était également très populaire notamment auprès
des populations catholiques du Palatinat et du Brisgau rattachées au
nouveau grand-duché sur ordre de l'oncle Napoléon.
La comtesse de Hochberg avait de quoi ruminer sa rancœur et sa jalousie.
Charles, victime de ses débauches, mourut prématurément en 1818 à l'âge de 32 ans et son oncle Louis lui succèda ous le nom de Louis Ier.
Faute d'héritier et prévoyant la fin de sa dynastie, le grand-duc
défunt n'avait eu d'autre choix que de proclamer dynastes ses oncles
Hochberg (qui étaient ses cadets par l'âge) et émit le vœu que l'aîné de
ceux-ci, Léopold, épousât une de ses nièces descendantes de la Maison de Bade..
La comtesse touchait au but. Dès 1819, elle mariait son fils aîné Léopold de Hochberg
devenu prince Léopold de Bade à Sophie de Suède, fille de la reine
Frédérique dont le mari avait été détrôné et qui vivait chichement en
exil. Ici également, la reine déchue n'avait eu d'autre choix que
d'accepter ce mariage qui apportait aux Hochberg le sang dynaste de la
Maison de Bade. La comtesse de Hochberg meurt l'année suivante à 52 ans.
Peut-être a-t-elle mis dans son jeu sa jeune bru qui se montrera tout
aussi ambitieuse qu'elle, que son mari craindra et son fils haïra.
Devenu grand-duc à la mort de son neveu qu'il avait poussé dans une voie destructrice, Louis Ier de Bade est alors le dernier membre masculin de la Maison de Bade.
Il ne s'est jamais marié ayant cependant un certain nombre d'enfants
illégitimes. Peut-être ce débauché incestueux était-il sous le coup d'un
chantage de la comtesse de Hochberg. Louis Ier meurt en 1830 et Léopold lui succède sans incident.
Recherche d'ADN[modifier]
Stéphanie se persuade que, la nuit où son enfant a été donné pour
mort, la comtesse de Hochberg l'aurait enlevé pour lui substituer
l'enfant d'un de ses ouvriers, que l'on aurait drogué à l'en faire
mourir. Elle se rend secrètement à Ansbach pour y apercevoir Gaspard et
en revient persuadée qu'il est bien son fils mais n'en dit mot.
Une recherche d'ADN réalisée en 1996, financée par l'hebdomadaire Der Spiegel,
et comparant l'ADN de Kaspar qui aurait été prélevé sur la chemise
qu'il portait le jour de son assassinat, avec celui de deux descendantes
de la Maison de Bade, n'a pas révélé la moindre similitude4.
En 2002 toutefois, des analyses de l'ADN prélevés sur six cheveux de
Kaspar Hauser et réalisées à l'Institut de médecine légale de Münster
sous la direction du Pr. B. Brinkmann, ont abouti à des résultats
positifs5.
Ces résultats demeurent contestés, compte tenu du risque de
contamination des cheveux en question, à un siècle d'écart. La Maison
princière de Bade s'est toujours refusée à laisser analyser les
ossements du fils de Charles et Stéphanie de Bade.
Confirmation ?[modifier]
La découverte d'un cachot secret a également réjoui ceux qui croient à
l'origine noble de l'adolescent. Ce cachot a été découvert à la suite
du percement d'un mur dans les communs du château de Beuggen (près de Rheinfelden), le 11 août 2000 ;
on y a trouvé sur une poutre le dessin au crayon d'un cheval, ce par
quoi il faut conclure à la présence d'un prisonnier autrefois. Le style
d'aménagement du cachot (et la référence à la figuration du cheval)
présente des analogies frappantes avec le cachot découvert au château de
Pilsach (près de Nuremberg), appelé aujourd'hui « Château Kaspar Hauser ».
Il faut par ailleurs noter que, de son vivant, Kaspar a dessiné des armoiries qu'il aurait vues de ses yeux ; or, ces mêmes armoiries figurent sur les portes du château de Beuggen.
Épilogue[modifier]
Le grand-duc Léopold, fils de la comtesse de Hochberg, sombre dans
l'alcoolisme, refusant de régner et se déclarant prêt à abdiquer à tout
moment; Son épouse, l'ambitieuse Sophie de Suède l'en empêche et à la
mort du grand-duc son fils aîné lui succède sous le nom de Louis II de Bade.
Il n'a que 28 ans mais a depuis un certain temps sombré dans la folie
et éprouve une haine viscérale envers sa mère, qu'il injurie et traite
de sorcière. Il meurt à 34 ans en 1858. Son frère cadet, qui avait été proclamé régent, lui succède sous le nom de Frédéric Ier. C'est un jeune homme mélancolique.
La grande-duchesse Stéphanie s'éteint à Nice en 1860.
En 1918, les monarchies allemandes, à la suite des revers de la Première Guerre mondiale, sont balayées par la révolution. Le prince Maximilien de Bade, cousin héritier du grand-duc Frédéric II de Bade et chancelier du Reich (dont la mère est une Beauharnais), proclame de son propre chef la fin de la monarchie en Allemagne.
Autres hypothèses[modifier]
Il a également été évoqué le fait que Kaspar Hauser ait été le fruit
d'une expérience cruelle. Une question qui agita beaucoup le XVIIIe siècle et le XIXe siècle
était de savoir si un enfant éloigné de tout contact humain
développerait ou non une sorte de langage et quelle serait en ce cas la
« langue primale » qui se dégagerait ainsi. Mais d'autres expériences
cruelles du même type ont démontré qu'un enfant laissé seul sans contact
humain meurt après un cours laps de temps. Personne n'a donc jamais
vraiment su quel type de langage ils pourraient développer.
et la chanson de verlaine.. qui m'a fait penser a cela :;
Je suis venu, calme orphelin
Riche de mes seuls yeux tranquilles,
Vers les hommes des grandes villes :
Ils ne m'ont pas trouvé malin.
A vingt ans un trouble nouveau,
Sous le nom d'amoureuses flammes,
M'a fait trouver belles les femmes :
Elles ne m'ont pas trouvé beau.
Bien que sans patrie et sans roi
Et très brave ne l'étant guère,
J'ai voulu mourir à la guerre :
La mort n'a pas voulu de moi.
Suis-je né trop tôt ou trop tard ?
Qu'est-ce que je fais en ce monde ?
Ô vous tous, ma peine est profonde :
Priez pour le pauvre Gaspard.
Give a monkey a brain... And He'll swear that he's the center of the Universe
Roboutte Guilliman Maître de Guerre - Messages : 4523
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Localisation : Suisse, Montpellier, Savoie.. Le multiverse quoi
Re: Prospero Brûle
Darkness a écrit:Tu devrais quand même te le procurer rapidement avant qu'il ne soit en rupture du stock, il suffit de voir ce qu'il est advenu du Premier Hérétique. Déjà épuisé un peine un mois après sa sortie. Là la BL abuse pas mal avec ces histoires de stocks non approvisionnés.
Enfaîte il était en rupture de stock 5 jours après la sortie et cela pendant 2 semaines. Il est de nouveau disponible depuis 2 semaines.
In Mortis est Gloriam!
Uriel Ventris Premier Capitaine - Messages : 1376
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