Le Siège de Terra : Mortis de John French
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VOTRE APPRÉCIATION GLOBALE DU ROMAN:
Re: Le Siège de Terra : Mortis de John French
Je n'ai pas encore commencé le Siège de Terra, je finis l'HH (Dague enfouie en cours), à lire vos retours j'ai hâte de m'y mettre, c'est dur de vous lire et de résister au spoil!
Jotabe Scout - Messages : 86
Age : 35
Localisation : Mondes de Sabbat / région lyonnaise
Re: Le Siège de Terra : Mortis de John French
Perso, je lisais les intro et les conclusions,
parfois les spoilers mais parce que j'ai une mémoire de poisson rouge.
parfois les spoilers mais parce que j'ai une mémoire de poisson rouge.
Re: Le Siège de Terra : Mortis de John French
Je lis aussi en diagonale, c'est intéressant d'avoir les différents points de vue et ça donne envie d'y être.
La prochaine étape sera que je me motive bien pour écrire un retour moi aussi. peut-être pas aussi poussée que ce que vous avez l'habitude de mettre et lire, mais je peux commencer quand même
La prochaine étape sera que je me motive bien pour écrire un retour moi aussi. peut-être pas aussi poussée que ce que vous avez l'habitude de mettre et lire, mais je peux commencer quand même
Jotabe Scout - Messages : 86
Age : 35
Localisation : Mondes de Sabbat / région lyonnaise
Re: Le Siège de Terra : Mortis de John French
Bon.... on va essayer de débattre un peu....mais bon dieu que ce roman a fait parler apparemment, doux Mephet'ran (doux Jésus mais pour Nécron)
Perso, je ne l'ai pas trouvé transcendental, mais pas dégueu non plus, donc je mettrais un bon petit 14-15 quand même
Nico. a écrit:Corswain,
- Spoiler:
Le chef des DA de l'Ordre ne veut pas spécialement se battre pour l'Empereur mais se laisse convaincre par Corswain. Il va l'aider et même lui sauver la vie. Sauf qu'à la toute fin, d'autres DA mystérieux (identité cachée) vont le choper et lui faire comprendre qu'il doit plutôt bosser pour l'Ordre/Caliban que Corswain, que sa "faiblesse" prouve que même chez les recrues de Luther il y a encore des purges à faire. Un des DA a l'air d'être quelqu'un d'important vu que cela surprend le personnage quand il dévoile son identité, mais nous on n'en sait rien.
- Spoiler:
- Personnellement j'opte pour le "mauvais" Cypher qui est un psyker (donc repousse les pouvoirs de Vasago ,et peux potentiellement créer des possédés ? pour le "griffes et serres") et qui est sensé être sur Caliban (d'où la surprise de Vasago de le voir ici)
Sinderman/Andromeda-17/Mauer
- Spoiler:
Ils vont papoter avec Basilio Fo en prison et Amon le Custodien. En gros, celui ci fait comprendre qu'il croit au nouveau culte impérial, il va aider à faire sortir Keeler. Fo de son côté n'a pas spécialement envie d'aider l'Empereur, il avait menti en promettant une super arme, il voulait juste gagner du temps. Mais il se fait surprendre par la Selenar... qui... au lieu de le tuer comme elle le devrait (les Selenar et lui se détestent) elle dit qu'elle était venu pour le libérer. Ok, pourquoi ? On ne sait pas.
- Spoiler:
Clairement inspiré du Desty Nova de Gunnm Smile
Le dernier des Seigneurs de la longue Nuit (cardinal Tang, Narthan Dume, les Marcheurs Écarlates,) qui régnaient sur Terra et que l'Empereur a dû abattre les uns après les autres.
Fo a apparemment joué les Sauron chez les Selenar en volant des secrets génétiques importants.
Son seul "but dans la vie" est de survivre et faire des expériences génétiques monstrueuses.
Le virus capable de détruire les lignées des 20 légions était un fake pour lui offrir du temps pour organiser son évasion, 1 beau clin d'œil ironique à la haine des Custodiens envers les légions et primarques.
- Spoiler:
- Alors, il y a des ressemblances avec Nova, c'est vrai, mais Fo n'aime pas spécialement les flans, donc la ressemblance s'arrête là :p
Blague à part, ce n'est pas que Fo a menti quant au poison qu'il aide à fabriquer, c'est qu'il prend bien plus de temps pour le créer qu'il n'en a réellement besoin.
Et pour la libération par Andromeda, pas compris non plus, donc j'ai hâte d'en savoir plus dans les futurs livres
Ollanius Persson et les gens avec lui depuis Calth
- Spoiler:
Après des péripéties pas très folles, ils arrivent sur Terra. Mais ils ne sont pas au bon endroit, donc ils doivent marcher pour atteindre des lignes impériales (eux aussi !). Sur la route ils trouvent le "paradis", un lieu modelé par les Emperor's Children. C'est forcément chaotique, John les retrouve avec Leetu l'étrange SM que l'on voit dans Saturnine. Ils se battent contre des démons puis se font rejoindre et aider par Actaea vue dans Slaves to Darkness et un légionnaire se faisant appeler "Alpharius". Elle propose à Oll de les aider, qu'elle n'est ni pour l'Empereur ni pour Horus. On n'en saura pas plus.
- Spoiler:
Beaucoup de souvenirs de Oll, que le démon du Paradis EC désigne comme le 1er des perpetuels (!)
Maître de Guerre de l'Empereur dans sa lutte contre le Chaos, il était déjà devenu trop fort quand ils ont pris la Montagne creuse et anéanti les Cognitae. Oll voulait détruire l'enuncia. L'Empereur voyait déjà plus loin qu'aucun autre et souhaitait le garder. Ce choix est la raison pour laquelle Oll (mais aussi Erda) ont rompu avec l'Empereur.
Oll utilisant le couteau dans le rêve de l'Empereur avec un mot d'enuncia consacre l'image de "la tour foudroyée" et le libère des plantes EC.
Oll fait beaucoup de parallèles avec son aventure comme compagnon de Jason. Le démon qui les poursuit est associé au minotaure, mais se révèle pour une part être en fait un John agonisant appelant Oll.
Cette "compagnie de l'anneau" parvient enfin sur Terra grâce à Katt mais pour sauver John ils sont pris au piège dans le Paradis EC.
La décision d'Oll d'accepter l'aide d'Actae et Alpharius et son attachement à ne pas choisir un camp laisse un doute sur ses intentions (comme la Erda de Saturnine). Comme Actae leur offre de les faire atteindre Horus, on suppose que c'est pour le mieux..
Ils parviennent à échapper aux EC et embarquent ensemble dans un vaisseau transorbital (direction le Vengeful Spirit?)
- Spoiler:
- Pour Oll, au vu des connaissances et des personnages mentionnés, on jurerait ,non pas qu'il était un Argonaute, mais qu'il était absolument partout...comme si il était non pas un acteur, mais l'écrivain qui a écrit les mythes des argonautes et autres. Vu comme les autres personnages ont l'air de réagir à son encontre, on jurerait qu'il a supplanter Jason, que son "rôle" s'est ajouté à l'histoire et est allé au dessus de Jason dans la hiérarchie
Et puis tiens, quitte à parler du Perpétuel: un démon l'apelle "Celui qui ne meure jamais" là où ,Malcador ,lui, a un nombre de "vies" limité ? Les auteurs, ça ne vous dirait pas de vous réunir et de vous mettre tous d'accord sur ce dont sont capables les Perpétuels ?
Et la Légio Mortis dans tout ça me direz vous ? C'est justement ce qui a fait râler bon nombre de fans anglophones: ils s'attendaient à un livre de gros affrontements de titans et une Légio Mortis qui défonce tout. Sauf qu'elle ne commence à se battre que dans le dernier quart du livre et qu'il n'y a, finalement, que "peu" de combats de Chevaliers/Titans. Et il n'y a presque rien de fluff sur Mortis, on n'a même jamais de passage de leur point de vue, un comble pour un livre portant leur nom.
- Spoiler:
Pas de point de vue interne au contraire des autres romans (les Faux dieux, La bataille de Molech, ) pour une legio profondément transformée depuis Beta Garmon. On découvre leur monstruosité et abandon au Chaos à travers le regard des loyalistes.
Gardé en réserve par Horus, les Titans accostent le spacioport de la porte des lions dans des transports de masse noirs, lisses et couverts de givre comme des cercueils.
Dies Irae est un roi mort-vivant, capable de résister à des missiles warp et vortex, de se régénérer plusieurs fois après des frappes mortelles, et de hurler depuis le warp pour faire sortir des démons envahissant le champ de bataille. La scène de la légende le faisant atteindre le 1er le mur du Palais conclue le roman.
Comme dans un film de dark fantasy, Les Mortis sont montrés comme une Legio cohérente menant un raz de marée de machines zombie et de troupes insectoides du mechanicum Noir venus de l'au delà pour apporter la mort.
Ce sont eux qui brisent les remparts de MErcure-exultant et annoncent la dernière partie, désespérée, du siège.
- Spoiler:
- Oui, je rejoins un peu Ghost là dessus, on a pas vraiment d'infos sur la Mortis ou le Dies Irae en tant que tels, mais on a pas mal d'infos sur ce dont ils sont capables, et ce qui les entoure
Oll est le premier perpétuel, il était allié à l'Empereur. C'était son "warmaster"...
- Spoiler:
... et il a tenté de le tuer quand il a compris que l'Empereur n'était pas le plus flexible des mecs et que son intransigeance allait causer la mort et destruction de pas mal de monde. Décidemment l'Empereur devrait mieux nommer ses Warmaster !
- Spoiler:
- Encore une "bêtise" de l'Empereur...il en fait plus qu'il y a d'étoiles dans l'univers, mais c'est lui qui voit le plus loin.... L'Humanité est perdue... xD
Du fluff sur l'Ordo Sinister, ils ne répondent qu'à l'Empereur et ce dernier décide enfin de les envoyer sous le commandement de Dorn.
- Spoiler:
Apparus dans une novella de French en 2017 en parallèle de la guerre dans le Webway (Master of Mankind) et dans l'expansion FW Shadow and Iron.
Titans psy dirigés par des parias et "offerts à l'Empereur", une légende même parmi les plus vielles legio comme Ignatum. Ils ne répondent qu'aux ordres directs de l'Empereur et communique avec eux depuis le Trône d'or.
Leur préfet apparaît pile au moment où Dorn doute de la victoire, et par ordre de l'Empereur, se place sous son commandement.
Capables de se regénérer et de traverser un vortex, ils ne sont pas indestructibles et sont insuffisants pour contrer l'assaut renégat quand Horus lâche sa propre réserve: une manipule entière de titans warmaster.
En pleine bataille, ils peuvent prendre le commandement de n'importe quelle formation de titans loyalistes.
- Spoiler:
- Comme le dit Ghost, on a quand même beaucoup plus d'infos sur les Sinister dans Le Maitre de l'Humanité, clairement, donc bon, d'autant plus que le seul titan psy qu'on voit n'a finalement pas grande utilité
Ben c'est aussi et surtout, selon moi, un sacré clin d'oeil au mythe de la Tour de Babel et son "langage universel" qui ne serait autre que l'Enuncia...vu la puissance du truc, je comprends mieux pourquoi Dieu l'a brisée et a divisé les peuples x'DNous avons l'origine de l'Enuncia et des cognitae. Oui oui, les mêmes que dans les livres d'Abnett sur l'Inquisition de 40K. On apprendre qu'ils en veulent depuis tout ce temps à l'Empereur parce qu'il les a rasé quand ils voulaient "élever" l'espèce humaine en la formant.
Oui bon, perso, j'étais déjà surpris qu'il soit toujours là le machin, mais ce qui m'a le plus étonné, c'est que les Custos acceptent aussi facilement de l'envoyer au massacre. Parce que bon, ils doivent tout faire pour protéger l'Empereur, ok, mais justement, un tel vaisseau ,visiblement, aurait fait un très bon ajout à l'offensive du Phalanx en cas d'extraction de l'Empereur..mais non, à la place, envoyons le à la mort pour déposer 10k Dark Angels...mouais ^^'Ah, le vaisseau de l'Empereur est utilisé comme diversion pour faire entrer les DA sur Terra. Comment ? En fonçant sur les lignes ennemis et en le faisant péter. Ciao le beau carrosse de papa.
Perso, je ne l'ai pas trouvé transcendental, mais pas dégueu non plus, donc je mettrais un bon petit 14-15 quand même
Zekka Premier Capitaine - Messages : 1414
Age : 32
Localisation : Dijon
Re: Le Siège de Terra : Mortis de John French
Lecture incroyablement fastidieuse, même si on peut pas dire que ça soit une première avec French.
J’avais déjà vécu ça avec Ahriman, qui d’ailleurs est la seule série Warhammer que j’ai laissé tomber en cours de route (après le tome 1) tellement c’était chiant. Et pourtant je sais me faire force, j’ai même réussi à me coltiner tous les Éveil de la Bête, pour dire…
Point positif quand même : on n’atteint pas non plus ici la débilité scénaristique d’un Esclaves des Ténèbres, ça se tient, au moins grosso modo, mais ça m’a pas empêché de m’ennuyer comme un rat mort.
Les descriptions à rallonge me sont vite devenues insupportables, et le récit est sans arrêt pollué par une sorte d’excès verbeux exagérément centré sur le thème des sensations (souffrance, peur, agressivité & cie, magnifiées par le Warp).
Ces digressions sensorielles reviennent quelque soit le bonhomme, quelque soit la sous-intrigue, jusqu’à plus soif, en venant hacher le déroulé des événements. Un truc qui ne devrait prendre qu’un paragraphe en prend cinq, ça n’avance pas.
En plus ça y va sans complexes sur les répétitions. Ah on en bouffe du "un pas souffreteux après l’autre", de ce "souffle onirique sur la nuque", de ces coups d’athamé dans la trame de la réalité. C’est pas comme si on avait déjà eu moult voyages à la sauce Sliders dans de nombreux bouquins et nouvelles. Consternant.
Le tout est en plus desservi par un style grandiloquent, voire bouffi, et un découpage des sous-chapitres calamiteux car beaucoup trop fréquent à mon goût. On passe sans arrêt d’un protagoniste à un autre, en un yo-yo éprouvant, c’est décousu.
Là où ça fonctionnait plutôt bien dans La Guerre Solaire, avec un switch régulier de perspective qui mettait bien en scène la complexité du théâtre de Sol, ici ça ne le fait pas, l’effet de dynamisme n’y est pas.
Mais tout ça aurait largement pu être atténué si l’auteur avait fait avancer un peu les choses, traité un peu plus de situations d’importance, et même soyons fous, de trucs intéressants. Après tout, après celui-là il ne reste plus que 4 bouquins si l’on inclue un probable deuxième recueil. Et avec tout ce qu’il reste encore à rapporter, il s’agirait peut-être d’accélérer, non ?
Hé bien non, on se traîne à mort, on est une bonne partie du temps dans du cheminement christique ou de la quête d’accomplissement bête et méchante, et sans débouchés dignes de ce nom ! Ce livre est pour une bonne part un énorme palindrome du vide. Et ce n’est même pas une question de manque de titans, de toute façon je n’étais pas chaud pour un compartimentage thématique du siège.
A cet état d’avancement du siège, pourquoi s’attarder encore autant sur du superflu ? Je vois bien l’espèce de truc contemplatif qu’a essayé de nous faire French, mais tout ça on l’a déjà eu. Que ce soit sur l'aspect humain de la guerre, l’émergence de la foi impériale, la peur face aux bêtes et aux damnés, l’esprit de la Solaria, les références multiples à la mythologie grecque (tiens c’était aussi un pote à Hector maintenant Oll ) ou les petites balades dans les couloirs du temps. Il s’agirait maintenant sur ces sujets et bien d’autres d’aller un peu plus loin, de passer un cap voire de commencer à faire aboutir des choses, et pas ressasser de manière aussi étriquée les mêmes ébauches de thèmes.
Et de revoir un peu les priorités. Ici, une péripétie tertiaire de sous-fifre a droit à des pages et des pages alors qu’un truc majeur comme le départ des Iron Warriors est expédié en quelques paragraphes.
Pareil pour le franchissement de l’enceinte du Palais. La Mortis là, dont on fait tout un foin, à la fin elle est juste toute bête au pied d’un rempart inexpugnable qui fait 25 fois la hauteur de leurs plus grosses machines et est aussi profond que haut, qu’elle a passé tout un bouquin à atteindre. Oui, et ? Pourquoi s’arrêter là ? Pour la symbolique du coup de klaxon revendicatif de Dies Iræ ? Comme Angron devant les murs précédemment ? On est censés imaginer la suite ? Je n’ai pas vu comme d’autres le moment où le rempart est censé péter. Dorn a fait fermer les centrales à plasma qui auraient pu fragiliser le bousin. Mais où donc French veut-il en venir ??
Je ne sais pas si cette retenue est à mettre sur le dos d’une quelconque timidité ou pudeur de l’auteur ou si ça a été commandité par la BL afin de laisser aux vieux briscards le loisir de traiter des vrais sujets, mais quand je lis des trucs comme ça je me dis qu’il ne faut pas s’étonner ensuite de voir Abnett rusher et enchaîner les morts notoires dans ses bouquins.
Enfin, les morts… quand ils ne sont pas ressuscités en catastrophe. Coucou Shiban Khan ramené en mode palliatif après que les auteurs se sont rendu compte qu’ils n’avaient plus de White Scars de renom en magasin pour le prochain tome centré sur cette légion.
Côté titans, c’est déjà mieux. Quantitativement j’en demandais pas plus en fait, même si je m’attendais à autre chose. Le conflit entre legios est correct, l’absence du point de vue de l’ennemi n’est pas rédhibitoire en soit, les particularités des frelons d’Ignatum sont bien mises en avant (notamment la coordination) et l’auteur fait même l’effort de prendre en compte la logistique et le MCO (maintien en condition opérationnelle) en faisant soutenir l’effort de guerre titanique depuis les chambres de la muraille, vers lesquelles les titans loyalistes font des aller-retours pour se ravitailler et procéder à des réparations de fortune, c’est très bien.
Bon, les archétypes de perso font parfois soupirer (Caradoc…), le déroulé des événements a ses côtés ridicules (aucun temps de latence entre les tirs d’artillerie du palais et leur point de chute 150 km plus loin, w’okay), et ça manque un peu d’épique aussi :
Il y a des classe Emperor de partout et pourtant aucun duel digne de ce nom. Je voyais déjà les Imperator enquiller les Warhounds comme des pains au lait, mais même pas. L’Ordo Sinister (4 clampins balancés à la one again en tête du dispositif ) fait un peu pschiit aussi. Vous vous souvenez du niveau d’epicness qu’avait réussi à distiller ADB avec cette unique machine psy dans Master of Mankind ? Et ben on en est très loin.
Et puis le Dies Iræ qui sans prendre aucune mesure de préservation essuie sans sourciller des tétratonnes et des térawatts de projectiles de classe spatial en provenance du Palais et des autres titans, avant de patauger tranquillou dans les munitions vortex, tout simplement. On parle bien du même qui se fera avoir de manière tout à fait conventionnelle par quelques pécores sur Hydra Cordatus ?
Autrement, j’ai été assez surpris de constater que deux des intrigues amorcées par Abnett dans Saturnine sont en fait contraires à l’interprétation que je m’en étais faite :
Olly Piers n’est pas un Oll Persson qui serait arrivé trop tôt sur Terra. Je voyais dans sa défense de l’étendard de l’Empereur face à Angron un teasing symbolique de la vraie interposition qui s’annonce, mais en fait non, ce sont juste deux quasi homonymes qui auront (dans l’esprit) un rôle similaire. Étrange.
Les Dark Angels qui arrivent dans le système à la fin du tome précédent ne sont qu’un contingent limité. Ce n’est donc pas l’arrivée de la légion, qui aurait précipité les événements.
Puisque j’y suis, leur action unilatérale visant à reprendre l’Astronomican pour guider les légions loyalistes convergentes à bon port n’est pas dénuée d’intérêt. Mais dans ce cas, ça veut dire que ce stratège de génie qu’est Dorn aurait oublié ce léger détail ? Alors que tout son plan repose sur l’arrivée des Ultra et des DA justement ? LOL
Pas convaincu non plus par l’introduction d’un énième élément perturbateur en la personne du :
- Spoiler:
- nouveau Cypher je pense aussi, et des traîtres Calibanites
Va quand même falloir gérer tout ce bordel après, ça risque d’être dur de ne pas bâcler des trucs. Car ça commence à faire beaucoup là, entre le perpétuel Basilio Fo, la sélennite en roue libre qui introduit de l’aléatoire dans le conflit (du chaos ?), Keeler et la foi impériale, Sindermann qui se construit son ébauche d’Inquisition en agrégeant la toute nouvelle police secrète du Palais à son ordre des Interrogateurs, "Alpharius" et Actae qui se superposent eux-mêmes à Oll, Katt la psyker qui n’est pas ce qu’elle paraît être apparemment (...), John, Erda et à un prototype de SM au patrimoine génétique de l’Empereur.
Surtout qu’on n’est pas plus avancé qu’avant sur les motivations de chacun. Même Oll et John, maintenant regroupés, n’ont toujours aucun but précis. Les joies narratives de l’ambivalence ont leur limite.
Ce que je retiens, en bon comme en mauvais :
- Spoiler:
- L’Imperator Somnium a 10 canons nova Je vous renvoie à Mechanicum et aux descriptions dantesques de son arrivée qui a fait pleurer Mars (et Verticoda), première fois où on le voyait.
Il est énormissime oui, je crois même me souvenir d’un texte qui disait qu’il avait soufflé l’atmosphère d’une petite lune en s’y posant ^^
Dommage pour ce gâchis dispendieux de ressources par contre. Mais bon, c’est un peu une habitude des auteurs. On se souvient de la über forteresse stellaire d’Ultramar envoyée au carton sans escorte dans la trilogie Sombre Imperium.
Et non le Phalanx ne peut pas y passer ici, puisqu’il est toujours là à 40K. Je pense qu’il viendra ratisser le terrain quand il le faudra, comme convenu, et je ne vois pas dans le coup d’éclat du Somnium un quelconque remplacement de cette scène.
Avec l’Enuncia, French rattache toute l’histoire de l’Empereur à une invention 40K d’Abnett. Cool. Encore plus hâte de lire Pénitent du coup !
Ollanius en premier maître de guerre de l’Empereur, un peu forcé mais admettons. Sa relation avec l’Empereur puis sa trahison sont déjà beaucoup plus intéressantes, même si on est loin d’égaler la richesse des annonces perpétuellesques d’Abnett dans Saturnine, via la conversation entre Erda et Grammaticus.
Katsuhiro, énième croyant en l’Empereur-Dieu. Il n’est plus à la recherche de la taupe de l’Alpha légion, anciennement son confrère régimentaire ??
La foi en l’Empereur et ses effets anti-Warp concrets sur les soldats, ok.
Mais à quelques semaines du grand final, le plan de la police secrète visant à utiliser le Lectitio et à le propager pour endiguer les ravages psychologiques des civils et des militaires arrive un peu tard, non ? Il y a comme un gros problème de timing. On nous serine sans arrêt cette tyrannie des distances au sein du Palais, sans parler des problèmes de communication que les loyalistes se payent à foison (facilité scénaristique usée plus que de raison à chaque tome, et maintenant même les lignes filaires enterrées ne fonctionnent plus xD), donc je ne vois pas comment ils espèrent répandre le truc suffisamment tôt pour que ça fasse une différence, à des dizaines de milliards de gusses et sur tout un continent.
Le Paradis Emperor’s children. Une idée intéressante sur le papier et en concordance avec les desseins qu’exprimait Eidolon dans le dernier recueil de l’Hérésie. Malgré tout, je n’ai là encore pas adhéré à la mise en application. L’auteur en fait à la fois trop dans son registre sensoriel de prédilection, et ne nous en dit pas assez sur le suivi de cette légion dévoyée : on voit des ronces, quelques EC no name junkies ou musiciens circonscrits à une seule ruche, mais c’est tout. Comme pour les IW, on est dans le truc d’ambiance mais ça n’a pas la stature du devenir d’une légion, quand bien même elle est mise au ban du siège.
Les scènes Warp allégoriques entre l’Empereur et Horus. Y’a du pour et un peu de contre.
Bien aimé la représentation de Sa volonté inébranlable, même dans une situation qui devient de plus en plus désespérée.
Parfait aussi le mépris supérieur qu’Il affiche en ne daignant pas répondre à un Horus en pleine péroraison mais en s’adressant plutôt aux marionnettistes what4. Il semble là encore connaître l’avenir et en disant qu’Horus est encore son fils, Il fait allusion au moment à venir où le maître de guerre redeviendra pour un court instant lui-même après que le Chaos s’en soit retiré, jetant un regard navré et plein de compréhension à son père juste avant qu’Il ne l’achève.
Pas aimé par contre Sa représentation desséchée et cadavérique. On va déjà l’avoir comme ça pendant 10 000 ans, peuvent pas le représenter tel qu’Il est plutôt ? En plus on est en contradiction totale avec la vigueur psychique qui transpirait de lui dans Les Fils Brisés, et qui le voyait jouer sur les deux tableaux… On croirait revoir ce miséreux d’Imperious dans la représentation de French, pitié.
Bien aimé le ravitaillement psychique de Malcador par contre, brave soutien qui risque son âme pour soulager le boss, avant de s’exfiltrer sous un bon gros tir de couverture psychique de l’Empereur.
Au final, un tome poussif, long de chez long mais qui commet l’exploit d’aboutir quasiment à un statut quo sur la totalité de ses intrigues. En plus j’en ressors même plus embrouillé qu’à l’entrée, avec tous ces protagonistes entremêlés qui se veulent importants mais dont les intentions sont toutes floues.
Le rythme de la narration est trop haché et l’histoire recèle beaucoup trop de circonvolutions pour que je puisse l’apprécier.
Notamment Shiban Khan qui fait du rien sur des pages et des pages dans une ambiance post-apo quasiment vide de tout ennemi. On croirait pas qu’il y a la plus grande invasion planétaire de l’histoire de l’Humanité en cours.
Ou encore Oll et sa compagnie qui continuent leur trajet interminable, la mort soi disant aux trousses.
La partie avec les titans est déjà un peu mieux, mais même là je n’ai pas tout à fait eu ma dose de guerre conventionnelle.
En particulier du côté de la piétaille, on ne ressent pas du tout l’ampleur des combats. On suit à chaque fois des effectifs de la taille d’un peloton dans l’intrigue de Katsuhiro... Les GI doivent pourtant pulluler sur les murs. Idem pour les SM, on parle de quelques centaines répartis sur des dizaines de kilomètres de chemin de ronde.
Je ne comprends pas. Le siège décrit dans la Dévastation de Baal d'Haley était 100 fois plus épique que tout ce qu'ils nous ont pu nous sortir jusque-là. Et pourtant ça ne concernait "qu'un" regroupement des chapitres descendants des BA, 20 ou 30 000 space marines. Mais on avait droit à des escadrons de dreadnoughts reconvertis en presse-purée tyranide, à une compagnie de la mort de la taille d'un chapitre, à un Dante qui piquait en jetpack du sommet de la spire pour combler une brèche dans les défenses, one-shotant un carnifex à la hache énergétique au passage. Les trucs de ce genre devraient être légion là bordel. Les auteurs sont juste en train de passer à côté alors que c'est le point d'orgue de la série, ça me dépasse.
Bref, du French comme je ne l’aime pas, aux descriptions interminables et pompeuses, et pourtant on peut pas dire que j’ai une allergie de principe envers cet auteur. J’avais trouvé sa Guerre Solaire plutôt correcte notamment.
Heureusement il y a quelques scènes cool et de petites révélations fluff sympathiques, et le peu qu’on voit des primarques est plutôt bien écrit et pas déconnant. Mais tout ça pèse trop peu sur l’ensemble.
Je ne sais pas qui d’autre l’a noté Passable, mais pas mieux.
Bien content que les derniers livres soient entre les mains d'auteurs plus solides , même si reste à voir qui va nous pondre les dernières nouvelles.
A noter que le livre a été traduit par 5 traducteurs. Jamais vu ça ! Rythme de sortie trop intensif ? Nouvelle méthode d’optimisation de la trad par la BL ? Lié aux récents reports/problèmes de parution côté français ? Heureusement ça ne se ressent pas trop à la lecture.
Emperor Maître de Guerre - Messages : 4750
Re: Le Siège de Terra : Mortis de John French
Franchement, de ce que je lis comme retour sur ces premiers tome, ca sent quand meme la looz cette série on dirait.
j'attend de tout avoir entre les mains pour lire d'un coup, mais boudiou que c'est poussif.
J'ai survolé ta critique pour ne pas me spoiler, mais ca n'a pas l'air très engageant.
j'attend de tout avoir entre les mains pour lire d'un coup, mais boudiou que c'est poussif.
J'ai survolé ta critique pour ne pas me spoiler, mais ca n'a pas l'air très engageant.
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Le progrès technique est comme une hache qu'on aurait mis dans les mains d'un psychopathe.
- Albert Einstein -
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Re: Le Siège de Terra : Mortis de John French
Bon, je viens de finir.
Vu tout ce qui a été dit, il n'y a qu'un truc qui m'a le plus choqué.
Depuis les premiers tome, on nous dit que la puissance psy de l'Empereur empêche les démons d'approcher des remparts.
On le voit même quand Shiban déambule que les démons ont du mal à s'incarner et qu'ils doivent rester derrière.
Ok...
Mais alors...
Comment font les titans et machines possédées pour arriver au mur et taper dedans à coup de foreuse ?
On a la suite de l'action dans les 1eres page de "Le fAUCON", mais on sait comment ca se passe et comment le mur est brisé.
Pour le reste, j'ai vraiment bien apprécié l'ensemble. Un poil moins tout ce qui tourne autour des perpétuels. J'ai toujours du mal avec les highlander d'Abnett depuis Légion.
Super le retournement de Perturabo qui ce fait ignorer par Horus et comment celui ci s'en fou de tout et de tout le monde ("mournivaldead)
Revoir le Dies Irae depuis Istvan) tout chaotique a été pour moi un petit pincement nostalgique, car Déluge D'acier est le premier livre de 40k que j'ai lu. J'avais a l'époque été scotché par l'affrontement des titans avec le Dies Irae. Juste dommage que la, il ne fasse quasi rien et se promené pépère en encaissant peinard tout de qu'il mange.
Les titans psy sont vraiment sous-exploité.
et le perso Caradoc..; impossible de ne pas rire à chaque fois. J'avais trop envie qu'il sortent un "c'est pas faux" à un moment. Mais non. Pauvre John French, mai qu'on lui envoi les dvd d'Astier.
Tout ce qu'on apprend sur l'Empereur par Oll et Erda est fameux. Quel sacré garnement ce big E !
Un tome un peu long, riche en fluff, quelques longueurs et quelques bonnes actions.
Sympathique pour ma part même si trop concentré sur les humais et on en oublie la démesure du conflit.
Vu tout ce qui a été dit, il n'y a qu'un truc qui m'a le plus choqué.
Depuis les premiers tome, on nous dit que la puissance psy de l'Empereur empêche les démons d'approcher des remparts.
On le voit même quand Shiban déambule que les démons ont du mal à s'incarner et qu'ils doivent rester derrière.
Ok...
Mais alors...
Comment font les titans et machines possédées pour arriver au mur et taper dedans à coup de foreuse ?
On a la suite de l'action dans les 1eres page de "Le fAUCON", mais on sait comment ca se passe et comment le mur est brisé.
Pour le reste, j'ai vraiment bien apprécié l'ensemble. Un poil moins tout ce qui tourne autour des perpétuels. J'ai toujours du mal avec les highlander d'Abnett depuis Légion.
Super le retournement de Perturabo qui ce fait ignorer par Horus et comment celui ci s'en fou de tout et de tout le monde ("mournivaldead)
Revoir le Dies Irae depuis Istvan) tout chaotique a été pour moi un petit pincement nostalgique, car Déluge D'acier est le premier livre de 40k que j'ai lu. J'avais a l'époque été scotché par l'affrontement des titans avec le Dies Irae. Juste dommage que la, il ne fasse quasi rien et se promené pépère en encaissant peinard tout de qu'il mange.
Les titans psy sont vraiment sous-exploité.
et le perso Caradoc..; impossible de ne pas rire à chaque fois. J'avais trop envie qu'il sortent un "c'est pas faux" à un moment. Mais non. Pauvre John French, mai qu'on lui envoi les dvd d'Astier.
Tout ce qu'on apprend sur l'Empereur par Oll et Erda est fameux. Quel sacré garnement ce big E !
Un tome un peu long, riche en fluff, quelques longueurs et quelques bonnes actions.
Sympathique pour ma part même si trop concentré sur les humais et on en oublie la démesure du conflit.
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Le progrès technique est comme une hache qu'on aurait mis dans les mains d'un psychopathe.
- Albert Einstein -
- Je suis Coutelier Forgeron venez voir : MON ACTU sur FB
- sur le web Pierre Forge Tranquille
- Envie de forger vous même ??? : FAITES UN STAGE
Re: Le Siège de Terra : Mortis de John French
Je ne vois même plus qui est ce caradoc.. ca commence à être un sacré fatra toutes ces trames parallèles aussi usantes pour les auteurs que pour les lecteurs.
Pour les titans psy, je me rappelle d'une vague explication de Haley dans son SoT. Les titans démons ne sont pas des démons comme Ka'bandha. Le Mechanicum se sert de savoirs interdits récupérés dans les Cryptes de Moravec pour créer une présence warp "à cheval" sur la réalité" et donc aller au delà des barrières de l'égide grâce à l'esprit de la machine existant dans tous les titans, sorte de pont permanent autoporteur.
C'est le rôle du Mechanicum Noir : briser les barrière pentagramiques présents dans les murs du Palais et donc rabougrir l'égide. Il faut penser le Palais comme une œuvre architecturale mais également ésotérique voulue par papy pour protéger le Trône d'Or dans les 2 mondes, materium et immaterium (voir la brèche de son ingrat de fiston pervers narcissique Magnus le tout rouge).
Et oui, j'ai apprécié aussi ces flashback confessions de la trame de la communauté de l'Anneau Oll Personn, c'est en fait ca qu'on attend sur le lore de Papy depuis les 1980th ! cette remise à l'échelle de la guerre des perpetuels comme une "espèce dans l'espèce" humaine,
qui donnerait une série de bouquins intéressante
Pour les titans psy, je me rappelle d'une vague explication de Haley dans son SoT. Les titans démons ne sont pas des démons comme Ka'bandha. Le Mechanicum se sert de savoirs interdits récupérés dans les Cryptes de Moravec pour créer une présence warp "à cheval" sur la réalité" et donc aller au delà des barrières de l'égide grâce à l'esprit de la machine existant dans tous les titans, sorte de pont permanent autoporteur.
C'est le rôle du Mechanicum Noir : briser les barrière pentagramiques présents dans les murs du Palais et donc rabougrir l'égide. Il faut penser le Palais comme une œuvre architecturale mais également ésotérique voulue par papy pour protéger le Trône d'Or dans les 2 mondes, materium et immaterium (voir la brèche de son ingrat de fiston pervers narcissique Magnus le tout rouge).
Et oui, j'ai apprécié aussi ces flashback confessions de la trame de la communauté de l'Anneau Oll Personn, c'est en fait ca qu'on attend sur le lore de Papy depuis les 1980th ! cette remise à l'échelle de la guerre des perpetuels comme une "espèce dans l'espèce" humaine,
qui donnerait une série de bouquins intéressante
Re: Le Siège de Terra : Mortis de John French
C'est quand même marqué noir sur blanc que lors du décès des titans corrompue, l'essence démoniaque s'enchape et les défenseurs voient les démons s'extraire en galérant des coques éventrées.
Quand au Mechanicum, ouaip, le ta gueule c'est magique à coup de "code corrompu" pour briser les défense et les pare-feu des humains mais aussi la barrière psy de de bigE... je trouve ca fort.
Quand au Mechanicum, ouaip, le ta gueule c'est magique à coup de "code corrompu" pour briser les défense et les pare-feu des humains mais aussi la barrière psy de de bigE... je trouve ca fort.
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Le progrès technique est comme une hache qu'on aurait mis dans les mains d'un psychopathe.
- Albert Einstein -
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Re: Le Siège de Terra : Mortis de John French
Ca part du principe que les machines ont une âme comme les humains, et peuvent être possédées. Pas besoin d'être psyker ni de niveau d'invasion warp particulier (pense à Samus dans le tome 1, la gamine qui entre dans le Palais sous l'égide avant la fermeture de la porte d'éternité et déclenche une invasion, Cherubael dans Eisenhorn), tous en autoportés, sans qu'il faille un rituel pour l'incarner/le maintenir.
Sauf que les titans, c'est une échelle Maus. Ils ont le karma d'un bonhomme de 50m de haut avec des armes à fusion à la place des bras et d'une bombe H à la place du cœur.
Même principe avec les obliterators, des techmarines non psy possédés en autoporté.
Sauf que les titans, c'est une échelle Maus. Ils ont le karma d'un bonhomme de 50m de haut avec des armes à fusion à la place des bras et d'une bombe H à la place du cœur.
Même principe avec les obliterators, des techmarines non psy possédés en autoporté.
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